L’art du conditionnement médiatique

« La crise a suscité un véritable emballement médiatique, avec des interventions
multiples
,
parfois contradictoires et même cacophoniques, qui ont conduit les Français,
perplexes,
à douter à la fois de la nécessité de se faire vacciner et de la sûreté des vaccins.
Parallèlement, la communication gouvernementale n’a pas su suffisamment
s’adapter pour faire passer le message de santé publique.
Dès lors, l’adhésion de nos concitoyens à la campagne n’a cessé de décroître.
La communication devra donc, à l’avenir, être considérée
comme un enjeu majeur de la gestion des pandémies
. »
Extrait du rapport de la commission d’enquête parlementaire – pandémie H1N1 (p.97)

Après avoir scrupuleusement épluché, stabiloté, une bonne partie du rapport
parlementaire sur la gestion de crise « calamiteuse » de la dernière épidémie notable en France,
la grippe A, dite plus communément H1N1 (j’en ferai un article spécial tellement
c’est passionnant), je peux vous annoncer que la seule chose que le
gouvernement a retenu de ces 742 pages très étayées, c’est sans nul doute
la dernière phrase citée : l’importance de la communication OFFICIELLE
pour espérer gagner la guerre.

Comme je vous l’expliquais dans mon précédent article,
80% des médias qui nous abreuvent d’informations à caractère redondant
appartiennent aujourd’hui à des lobbiystes proches du pouvoir.
C’est aussi ce qui change considérablement la donne
dans la gestion de cette crise par rapport à 2010
.
Le gouvernement n’est pas prêt, non plus, à refaire l’erreur commise précédemment
de déserter les réseaux sociaux, sources d’informations la plus accessible et plébiscitée.

« […] internet est, par excellence, le lieu de l’expression foisonnante
et anonyme
,
où la distinction entre allégations non fondées et argumentation
documentée est difficile
à établir pour le non-spécialiste.
[…] Or, le débat sur internet a été vif et nourri, en particulier par
le biais de blogs, d’envoi massifs de courriels et des réseaux sociaux

que sont Twitter ou Facebook. Non seulement les autorités sanitaires
et les experts
en ont
été largement absents, mais
ils ont même été débordés par l’afflux des messages émis. »
(p.102/ année 2010)

Les médias servent en ce moment d’outil de conditionnement et d’instituts de sondage
pour l’État, afin de capter nos capacités d’acceptation et de résilience
face à l’instauration de mesures de plus en plus liberticides.

On reprend le principe d’après-guerre de Paris Match « le poids des mots, le choc des photos »
Et dans la volonté d’aller toujours plus vite que la lumière,
ils délivrent méthodiquement les dépêches informatives
qui leur sont dictés par le pouvoir, sans aucune analyse, ni explication,
alors que c’est leur rôle. Des chiffres, des mots clés, une rhétorique courte,
mémorisable, compréhensible par le plus grand nombre.
Puis vient la redondance, le matraquage psychologique permettant
de faire accepter en quelques jours des mesures encore inacceptables la veille.
C’est de la manipulation, de la propagande, une technique utilisée
en temps de guerre… Ah oui c’est vrai, nous y sommes, mais elle se
déroule sur les réseaux sociaux, c’est une guerre médiatique à laquelle nous assistons!

Cela porte d’ailleurs un nom : le Gaslighting ou détournement cognitif.
Définition : « Abus mental dans lequel l’information est déformée, ou
présentée sous un autre angle, avec des omissions sélectives dont
le but est de déconnecter la victime de sa perception et d’altérer sa santé mentale. »

Je vous invite à ce propos à visualiser la courte démonstration magistrale
de Clément VIKTOROVITCH dans Clique (22 octobre 2020)

Clément Viktorovitech 22 octobre 2020 Clique Canal+

 Moi-même issue du monde du journalisme (ayant une formation initiale de
rapporteur d’images) et ayant trainé mes bottes dans quelques rédactions
avant de monter un collectif de photographes, je suis assez rodée au style
journalistique et à ses rhétoriques. Mes études m’ont aussi conduite à aborder la sémiologie
(science analysant les systèmes de signes du langage & des images) et à forger mon esprit critique.
Déformation professionnelle oblige, lorsque je vois la soupe que l’on nous sert, j’ai HONTE.
J’ai alors décidé de faire un maximum de captures d’écrans de dépêches parues
ces 5 derniers jours afin de vous démontrer le conditionnement médiatique
auquel vous êtes, malgré vous, soumis quotidiennement.

Attachez votre ceinture, ça va faire très mal et ça file à 100 à l’heure…

 

Dès mercredi 21/10, soit 24h avant l’annonce gouvernementale,
on commençait à lire partout que les couvre-feux allaient être étendus,
même dans les départements désertiques hors saison (Drôme, Loire, Ardèche, Vaucluse)
ce à quoi les habitants ne pouvaient se résoudre après la déferlante
de touristes reçus cet été. Le bon exemple, on commence par
l’obligation du port du masque à Montélimar (un désert urbain)…
Dans un même temps, Macron prédit que le virus demeurera parmi
nous au moins jusqu’à l’été 2021. Ce n’est pas anodin. Cela permet de
progressivement faire comprendre que les mesures liberticides
pourraient être amenées à durer aussi longtemps…

Sans surprise, jeudi 22/10, ça tombe : extension du couvre-feu
à 38 départements
supplémentaires.

Suite à cette annonce coup de poing, j’ai cherché les statistiques
des quelques départements m’entourant et du mien. Loin d’être alarmistes, les résultats
étaient plutôt bons, beaucoup de guérisons, peu de décès.


Et puis je me suis penchée sur les chiffres de nos copains européens, comme
l’Irlande dont le premier ministre venait juste d’annoncer le re-confinement de la population
pour 6 semaines, et je suis demeurée scandalisée des résultats. Il ne s’y passe rien.
Ils ont été « puni » alors qu’ils n’ont eu que 89 morts en 4 mois, avec une moyenne
d’âge autour de 80 ans, voyez vous même (source CSO).
Alors certes, comme partout en Europe, le taux de positivité remonte, mais rien d’alarmant.


Mais pour faire accepter l’inacceptable, il n’y a qu’un seul moyen : la gestion par la peur.
Comme dans le management entrepreneurial, domaine que
nos dirigeants du CAC40 connaissent bien, diriger par la peur permet
d’obtenir de bons toutous prêts à tout accepter et à en redemander.
Quoi de mieux pour ça que de communiquer sur les chiffres.
Ils doivent être alarmistes, exponentiels.
Faire penser qu’il n’y aura pas de places pour tous en réa est essentiel, et que bien se comporter en
respectant les gestes barrières et en restant chez soi sans voir personne est l’unique solution.
Pour s’assurer que les récalcitrants marchent dans les clous, on verbalise à tout va.

 

Autre point important, l’inexactitude des chiffres annoncés.
En effet, on change tout le temps de facteurs d’appréciation,
dès qu’un indicateur ne répond plus à la charge d’anxiété, on en change :

  • Seuil de vigilance (cherchez sa définition sur Google, on vous dira « inférieur à R1 », ça vous fait une belle jambe hein)
  • Point de vigilance (1 < R <1,5)
  • Seuil d’alerte : R > 1,5 mais aussi, seuil de 50/100 000 hab positifs (150/100 000 hab pour la grippe ou autre épidémie, pourquoi l’avoir baissé???)
  • Taux de positivité : correspondant au taux de positivité des prélèvements virologiques tests RT-PCR
  • Incidence épidémique ; estimation du nombre de personnes infectées sur une semaine sur 100 000 habitants grâce aux tests RT-PCR
  • Taux de reproduction (dit R effectif ou R0) : nombre moyen de nouveaux cas causés par une personne infectée,
    Calcul du R0 : se calcule à partir d’une population qui est entièrement susceptible d’être infectée (c’est-à-dire qui n’a pas encore été vaccinée ni immunisée contre un agent infectieux). Il correspond au produit de trois facteurs : R0=ßcD. (wahou, ça me rappelle avec horreur mes cours de maths!!!!)

    • ß = le risque de contracter le virus lors d’un contact (d’où le respect d’une distance sociale d’au moins 1 mètre recommandée en ce moment),
    • c = le nombre de contacts sur une unité de temps : si l’on diminue le nombre de contacts de moitié, on diminue le R0 de moitié.
    • D = le nombre de jours où une personne infectée est contagieuse (jusqu’à 14 jours pour le coronavirus).
  • Taux de létalité : nombre de décès dû à une maladie rapporté au nombre de personnes infectées par cette maladie. En France, il est estimé entre 0.3/0,6%, soit en dessous de la Rougeole
  • Nombre de mort pour 100 000 hab, comme si ce n’était pas plus simple de dire le chiffre total
  • Taux d’occupation en réa : taux moyen d’occupation des lits de réa par des patients COVID-19, par rapport à la capacité initiale de lits dispos,
  • Taux d’occupation en soins intensifs (c’est différent de la réa, la capacité double par rapport aux chiffres annoncés qui, souvent, englobent les deux services!!!)

Bref tout un jargon professionnel scientifique excluant,
auquel personne ne comprend rien et c’est aussi le but.
On crée la confusion car un lecteur perdu = un lecteur crédule,
à qui on a enlevé sa capacité de réflexion avec un discours inabordable
le mettant hors de sa portée de compréhension.

On jongle entre ces différents indices. ex : « Pérou, 130 décès pour 100 000 habitants »
Heuu, vous savez, vous, spontanément, combien il y a d’habitants au Pérou?

ex : « 28 531 800 contaminés dans le monde » Idem, sur combien d’habitants, quels continents???

Hors ces accumulations de chiffres conduisent à une désinformation
relativement proche de la Fake News, comme le démontre magistralement
ARTE, dans son animation Désintox
Vidéo Arte Désintox : Une deuxième vague à l’horizon?

De plus, France Soir a enquêté sur une manipulation de chiffrage en capacité
hospitalière qu’ils qualifient de potentielle « erreur volontaire » (ici)

On communique aussi sur les moyens mis généreusement entre nos mains
par le gouvernement pour nous AIDER à lutter contre la transmission du virus.
Comme une nouvelle application alors que la première a couté
200/300k par mois d’argent public pour un échec monumental.
Même le 1er ministre a avoué ne pas l’avoir téléchargée.

On dénonce les influenceurs qui se montrent sans masque sur les RS car ils doivent
participer à la propagande gouvernementale en montrant l’exemple.
Et oui, c’est là que le bât blesse. L’État ne peut pas encore contrôler ces médias individuels
pourtant très populaires et suivis, permettant aux gens de s’identifier
plus facilement car ces influenceurs sont avant tout des Mr/Mme tout le monde
ayant gagné en visibilité au fil du temps.
C’est là que tu entends bizarrement revenir sur le tapis la LOI AVIA,
qui permettrait au gouvernement de faire pression sur les hébergeurs pour
supprimer tout contenu jugé coercitif dans l’heure de leur publication.

Qui comme moi sent venir un durcissement du couvre-feu (19h/17h)
suivi d’un re-confinement lève la main.
On y va crescendo, mais on y va, on est lancé, avec la complicité des médias mainstream.
Moins d’une semaine après l’annonce du premier couvre-feu,
voilà que se profile l’idée d’un re-confinement dit « localisé »
pour ménager les esprits. Ainsi, on y est préparé mais avec l’espoir stupide de
potentiellement pouvoir y échapper pour peu qu’on habite un coin perdu.

Ne pas oublier le discours incohérent du gouvernement où on t’incite
à partir en vacances de la Toussaint pour mettre un couvre-feu en place 48h plus tard
et toujours rejeter la faute sur le non civisme des gens lambdas et faire porter sur
leurs épaules la responsabilité de la panique engendrée.
Diviser pour mieux régner, montrer du doigt ceux qui ont pris le risque
de s’échapper quelques jours pour faire croire que c’est à cause
de comportement individualiste que nous sommes dans cette crise.

Alors que l’on va droit dans le mur, que le personnel hospitalier démissionne,
on se permet de reproduire les mêmes erreurs qu’il y a 6 mois, au risque
de sacrifices humains incommensurables.
L’ANSM interdit encore la Chloroquine, même dans le cadre de l’IHU
qui bénéficiait d’une dérogation pour faire de la recherche.
Bizarrement, dès le lendemain, le Remdesivir (nom commercial VEKLURY,
c’est pratique de changer d’appellation en Europe pour être incognito), reconnu inefficace
sur la Covid par l’OMS, engendrant des effets secondaires rénaux graves,
obtient une dérogation pour la recherche (la même refusée à Raoult pour l’HCQ), et dans
ce cadre, Gilead va le fournir gratuitement dès le 24/10 dans les AP-HP!

 

Documents publiés par France Soir sur le sujet

 

Le pire c’est que même Gilead est tellement conscient que son médicament est
une merde qu’il a retiré de lui-même sa demande de remboursement par la Sécu
le 30/08 alors qu’il avait obtenu un aval positif dès le 03/07 par la HAS
(sous couvert de confirmations de données chiffrées prouvant son efficacité).

Mais je ne me fais pas de soucis, Gilead obtiendra la commercialisation de sa molécule.
Mr DELFRAISSY, président du conseil scientifique, qui s’est racheté dernièrement une
virginité médiatique, c’est le mec qui a été pris dans le scandale du Solvadi en obligeant
la Sécu à rembourser le traitement pour l’hépatite C, sans négociation possible du tarif,
jugé trop exorbitant par la SS (dit à l’époque, le traitement le plus cher du monde).
Bon, à la différence que ce médicament pouvait sauver des vies,
contrairement à ce qui se produit sous nos yeux aujourd’hui.
Savez-vous par quel labo il était distribué à l’époque au niveau mondial? Gilead…

 

Mais durant la crise, plusieurs solutions autres que vaccinales ont été découvertes.
On n’en entend presque pas parler dans les médias. Le discours est focalisé sur le vaccin.
Pourquoi? Outre l’aspect clairement financier de l’affaire à vouloir contenter Big Pharma,
avoir un médicament déclaré fiable et peu onéreux permettrait de sortir immédiatement
de l’État d’Urgence et de reprendre le cours de nos vies. Et ça, nos dirigeants (parce que c’est
mondial) ne le souhaitent pas. Ce n’est pas ce qu’ils ont prévu pour notre avenir.

D’ailleurs à propos du vaccin, si vous voulez vous forger une opinion,
je vous recommande l’intervention de Pierre CHARNEAU, virologue,
directeur sur la recherche vaccinale Covid à Pasteur-Théravectys

dans l’émission de CNews du 08/10 (de 16’05 à 39’00).

Je voulais vous mettre le lien pré-enregistré mais la censure
est déjà passée par là… (trouvé ici, pour combien de temps)
C’était pourtant très didactique, intelligent, à la porté de tous,
mais il avouait que le pari n’était pas gagné,
qu’il faudrait plusieurs années et que d’après les premières recherches, seule
une protection intra-nasale s’était montrée efficace et qu’il ne comprenait pas
pourquoi tous ses confrères travaillaient sur de l’intra-musculaire…

Ils n’hésitent donc pas à s’adonner à la censure à très grande échelle.
Dès lors que l’on ne va pas dans le sens établi, votre intervention disparait.
Les comptes YouTube tombent comme des mouches et le groupe FB de soutien
au Pr Raoult, regroupant 500 000 membres, a été désactivé samedi 24/10
(même le Figaro en a fait un article, c’est fou).
On y trouvait de tout, certes, mais il y avait beaucoup d’articles intéressants relayés,
notamment sur la situation à l’étranger (Afrique) et
quelques médecins y publiaient le suivi de leurs recherches.
Encore un timing parfait, il a disparu le jour même de l’interdiction de l’HCQ par l’ANSM.

A côté de ça, on a clairement saboter la campagne vaccinale de la grippe où la
pénurie de vaccins était déjà effective partout en France, seulement
48h après son lancement en grande pompe. Pourtant, tous les médecins
avaient souligné l’importance de vacciner les personnes fragiles pour
sauver des vies et éviter l’encombrement supplémentaire des soins intensifs!!

 

Seule bonne nouvelle du jour, sous la pression médiatique des articles parus, dénonçant
la censure du groupe FB, il a été réactivé dans la journée.

 

Enfin, ne pas oublier la communication alarmiste du mois d’avril/mai, ils nous avaient prévu
ces chiffres alarmistes pour l’après confinement et il ne s’est rien passé :

[…] « La population ne croit qu’en ce qu’elle voit : face à un risque considéré comme abstrait,
la nécessité de mesures de prévention est très difficile à faire admettre.
En revanche, dès que le risque est avéré, tous
y adhèrent et se mobilisent, à des degrés divers.
Comme il ne provoque pas de gêne, le précepte
d’un lavage des mains régulier est facilement accepté.
À l’inverse, le port du masque, qui comporte de réels
désagréments, n’a pas convaincu de son intérêt
.

Le risque raisonnable attaché à la vaccination n’a quant à lui été compris
et accepté que par une minorité, et une minorité aisée et informée ».
Extrait de la conclusion du rapport d’enquête parlementaire – pandémie H1N1
(p.113)

 

Ce  matraquage médiatique de chiffres, qui, sortis de leur contexte, deviennent insignifiants,
n’ayant plus que pour seule vocation de générer de la peur, engendre un cercle vicieux.
Car, en réponse à la panique éprouvée, il en résulte
une demande de la part des citoyens à être mieux protégés,
quitte à devoir sacrifier temporairement leurs libertés individuelles.
Cela permet ainsi au gouvernement de faire accepter plus
aisément des restrictions de plus en plus liberticides,
de faire croire aux citoyens qu’elles sont nécessaires et destinée
s à les protéger à la hauteur de la peur ressentie.
Sauf que ce système pernicieux permet aussi l’instauration d’un régime didactorial,
tel qu’il l’a été démontré maintes fois au court de notre Histoire.

 

RETROUVEZ-MOI SUR FB / SUR TWITTER / SUR INSTAGRAM

 

8

Une réflexion sur “ L’art du conditionnement médiatique ”

  • 1 novembre 2020 à 12h18
    Permalink

    Merci merci merci pour ce superbe article fouillé, détaillé, argumenté.
    J’ai lâché les médias mainstream après les attentats de Charlie Hebdo et j’ai du y refaire un petit tour au début du covid pour » m’informer ». Mais quelle erreur!
    Ces médias sont désormais le service de communication de notre gouvernement et ces fuites volontaires qui nous permettent d’accepter l’inacceptable me rendent dingue.
    Tout ce bazar me fait penser à une chanson de Kery James, Vent d’Etat et ça sent le roussi pour la suite.
    J’espère que les journalistes intègres continueront à gagner en audience et que de plus en plus de monde se détachera des supports propagandistes et dangereuses pour notre santé et notre intégrité.
    Très belle journée 🙂

    Réponse

Répondre à JenniferAnnuler la réponse.

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.