Les mêmes droits qu’un chien

En discutant avec une amie dernièrement, elle m’a offert une image insoutenable de ce que sont devenues nos vies et l’inhumanité qui en découle simplement en me racontant une anecdote de son quotidien qui l’a profondément marquée. Elle m’a dit qu’elle avait eu, l’espace d’un instant, la sensation que de ne pas avoir de pass sanitaire lui conférait les mêmes droits qu’un chien.

Elle était avec son compagnon en train de choisir une commande à emporter et le patron du resto lui a refusé l’accès au comptoir sans pass. Elle a donc été contrainte d’attendre dehors. Assise sur une marche, un monsieur est arrivé pour commander à son tour et a attaché son chien au poteau la jouxtant. Elle s’est donc retrouvée assise sur cette marche en compagnie du chien et il lui est venu alors à l’esprit que, pour les mêmes raisons sanitaires, elle n’avait pas plus de droit que ce chien de rentrer dans cet établissement…

Un panneau installé dans une vitrine suisse a fait polémique sur la twittosphère. Il y était inscrit « interdit aux non-vax et aux chiens« . Le patron a expliqué par la suite que cela n’avait pas pour but d’être discriminatoire mais qu’il l’avait installé sciemment dans le but de faire réagir et réfléchir, pour alerter sur la cocassité de la situation. En s’y attardant, c’est très grave cette déchéance de citoyenneté qu’une partie des gens ayant pris un statut d’objet (légalement les animaux le sont même si c’est aberrant) que l’on confine partiellement pour le bien commun. Mais je pense être bien plus choquée de la non réaction des gens qui m’entourent face à de telles discriminations que d’un gouvernement appliquant une feuille de route inhumaine. Après tout, pourquoi s’en priveraient-ils si la populace y consent avec enthousiasme? Fiers de débiner un QR Code pour être « libre » de consommer, trouvant normal d’être contrôlés comme des bandits braqueurs de banque à leur table de resto, laissant leur plat refroidir pour s’exécuter au contrôle identitaire face à des policiers armés… Trouver normal de se faire piquer tous les 5 mois pour avoir l’autorisation de vivre et de consommer me dépasse… Si l’on a perdu cette capacité de réagir face à ces méthodes coercitives qui n’ont rien à envier au fascisme, alors on ne mérite peut être pas notre LIBERTÉ.

 

Chaque jour depuis 13 mois, je tiens une revue de presse des actions mises en place au niveau mondiale. J’analyse les titres de presse, les réseaux sociaux. Une synchronisation d’actions se trament de plus en plus, c’est vraiment visible, du fin fond de l’Afrique, en passant par l’Inde sans compter tous les pays industrialisés. Il n’y a pas de doutes possibles sur une gestion éditoriale mondiale de cette pandémie. Les mêmes phrases employées, les mêmes mots durs face aux résistants, la même haine déployée des non-piqués responsables de toute la misère du monde. Cela n’a rien d’étonnant lorsque l’on sait qui mène la barque : Mc Kinsey dite la firme en rappel du film du même nom…

Si vous voulez voir votre avenir, regardez du côté de l’Australie, de la Nouvelle-Zélande (affiche ci-dessous), du Canada ou de l’Israël qui ont basculé. On y inaugure en grande pompe à la TV des camps covid, on vote des lois pour dé-saisir de leurs biens matériels les « opposants politiques » ou pour rentrer dans n’importe quelle maison sans mandat de juge. On oblige les gens à télécharger des applications utilisant la biométrie et la géolocalisation pour contrôler leur mouvement. On fait survoler des drones dans les rues rappelant les instructions à respecter.

Les slogans « no jab, no job«  apparaissent dans tous les médias comme une normalité acceptable. Pouvez-vous imaginer la violence psychologique que cela engendre de devoir choisir entre la possibilité d’avoir un toit, de pouvoir se nourrir ou celle de potentiellement mourir ou de demeurer handicapé, sans recours possible, d’une injection expérimentale? Car contrairement à ce que l’on vous serine à la TV, il n’y a aucune alternative offerte aux gens en contre-indication (qui sont beaucoup plus nombreuses que les 3 évoquées dans un décret rédigé par des politiques n’ayant aucune compétence médicale), mis à part de faire la piqûre dans un centre de réa, juste au cas où… Si après une forte réaction, moins de 2 organes sont touchés, il sera alors obligatoire de faire la seconde, troisième, quatrième injection… C’est un abonnement à vie avec une arme chargée sur la tempe, un droit de jouer à la roulette russe jusqu’à ce que votre corps cède. Pourquoi croyez-vous qu’une partie des soignants préfèrent tout perdre que de s’y plier? Beaucoup ont peur et sont réduits au silence par leur hiérarchie mais ils ont été en première ligne pour voir les conséquences engendrées…

 

Par exemple, savez-vous que Pfizer a mis à jour une liste de 265 médicaments en contre-indication avec son vaccin, dont notamment la vaccin de la grippe que la HAS a validé pour être injecté en même temps? Non, car même les médecins l’ignorent. En France on vous y incite aussi pour une autre raison très vicieuse, en cas d’effets secondaires graves, il vous sera impossible de le déclarer en pharmacovigilance car on ne pourra pas attribué les effets à l’un ou l’autre des produits injectés… Figurez-vous qu’aux US, les gens étant procéduriers par nature, on fait très attention à limiter les accidents médicaux pour éviter les tribunaux qui sont rapides et réclament des sommes astronomiques. Pfizer marque en gros sur sa notice de ne jamais faire 2 vaccins simultanément par manque de données scientifiques. En France, on s’en fout, y a l’ONIAM qui est censé couvrir les frais. Sauf que les escarpés du vaccin H1N1 n’ont toujours pas touché 1€ de dédommagement. La longueur des procédure fait que les victimes meurent avant d’avoir pu être reconnues et indemnisées. Car le vice du système repose sur le fait qu’il n’y a aucune obligation LÉGALE à souscrire à la vaccination. Si vous le faites, quelque soit vos raisons (même perte de job), légalement c’est de votre responsabilité. En cas de gros soucis, vous devrez être en mesure de prouver que c’est le vaccin qui vous a handicapé et cela relèvera d’une mission impossible. J’ai déjà collecté des milliers de témoignages de gens impactés qui sont désemparés et désespérés, certain songe même au suicide…

Des éditorialistes israéliens suggèrent de « déporter » les non-vax dans des villages où ils résideraient entre eux. En Australie, les peuples aborigènes appellent à l’aide la communauté internationale car pour les faire plier, le gouvernement leur a interdit d’acheter de la nourriture s’ils ne sont pas vaccinés… Dans le Queensland, l’armée va chercher les cas contacts chez eux pour les y extraire de force et les enfermer dans des centres de quarantaines qui n’ont rien à envier aux prisons d’antan. Dernièrement, la presse a relaté le cas d’une dame enfermée 14 jours contre son gré malgré que tous ses tests soient négatifs. En Autriche, les non-vax ont interdiction d’acheter des cadeaux de Noël. Ils ont un délai de 2 mois pour être vaccinés ou ils encourent des amendes de plus de 3600€ (+1400€ par rappel). Le non-paiement sera passible de prison FERME!!! En Allemagne, ils n’auront pas le droit d’être plus de deux à table pour le réveillon. Aux Pays-Bas, la police a tiré à balles réelles sans somation sur les manifestants anti-pass, sans qu’aucun gouvernement européen ne condamne cet acte. Dans nos DOM TOM, le Sénat a voté de couper l’eau courante aux habitants pour les punir. Pour mater la contestation sociale, on n’envoie plus de médiateurs mais le GIGN et des tanks. Mais où va-t-on? Qu’est-on en train d’accepter? Car qui ne dit rien consent. Il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Il est tellement plus rassurant de s’enfermer dans un Truman Show et de s’auto-persuader qu’un QR code vous permet d’effacer le cauchemar des 18 derniers mois pour reprendre la vie d’avant. Ce qui est sûre c’est que la vie d’après que nous construisons risque d’être bien plus insoutenable que la vie d’avant.

On plaisantait encore l’année dernière de la gestion drastique des chinois. Il était « complotiste » de parler du pass pour aller au resto ou pour faire ses courses. 365 jours plus tard, nous avons adopté toutes leurs technologies de pointe de surveillance de masse dans un silence déconcertant. Je ne peux m’empêcher de me demander à quel niveau de violence il faudra arriver pour que les gens acceptent d’ouvrir les yeux? Sans être défaitiste, j’ai bien peur qu’à ce moment-là, il soit déjà trop tard pour renverser la vapeur.
Moi ce que je constate, c’est que nous en sommes au même point que l’année dernière à la même époque, en ayant plus de 80% des habitants vaccinés dans les pays riches… On nous reparle de la possibilité d’être confinés à Noël, de fermetures d’entreprises (discothèques), que nos enfants pourraient encore tuer papi/mamie (ayant reçus 3 doses), du masque qui revient en extérieur alors que la Science a prouvé dans plusieurs études son inutilité dans des masses d’air aussi importantes… Quand est-ce que les gens vont comprendre que toutes les mesures prises n’avaient rien de sanitaire sinon cela se constaterait dans notre quotidien?

 

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Une réflexion sur “ Les mêmes droits qu’un chien ”

  • 7 décembre 2021 à 10h27
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    Bonjour Crystila. Merci pour ce nouvel article coup de poing qui relate des faits rejoignant des réflexions que je me suis faites cette semaine. Jusqu’on va-t-on aller ? C’est terrible, dramatique…. Et le manque de réaction de la majorité de la population face à ce qui est en train de se mettre en place est extrêmement inquiétante….

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