Voici un look printanier comme on les aime avec l’association
d’une robe légère et d’un gros gilet pour la réchauffer.
J’ai déniché cette robe chez un déstockeur du coin.
J’ai eu un coup de cœur sur son motif fleuri très gai.
Ce petit gilet bleu fait main vient de vinted pour la modique
somme de 6€ (ça ne rembourse même pas la matière première).
Rien de neuf pour le reste, que de la récup de fond de tiroir.
CRYSTILA
Gilet : fait main (6€ – vinted)
Robe : sans marque (19€ – destock)
Collier : Réminiscence (20€ – vinted)
Sac : Fame Shop Marseille (29€)
Espadrilles : La maison de l’Espadrille (4€ – vinted)
Hello, hello,
Je pense ne pas être la seule à m’énerver sur les coupes des robes que
l’on peut trouver en magasin. Même en étant petite, de nombreuses
coupes interdisent tout mouvement si on veut éviter de montrer nos fesses.
Ces robes deviennent donc des blouses, à moins de les utiliser à la plage…
Cela devient vraiment difficile de dénicher une robe vraiment bien coupée.
Soit on achète du long et cela nécessite soit un ourlet ou de la raccourcir
pour avoir une coupe finalement « normale ». Ou bien on achète du court
et dans la vraie vie, c’est importable à moins d’être naturiste…
J’ai donc tendance à profiter de ces jolies robes en les portant
soit en blouse comme dans ce look ou bien je joue sur la
superposition avec une jupe plus longue dessous. On gruge.
J’ai déniché cette jolie « fausse » robe dans un commerce local
en fin de saison dernière lors des soldes. J’aime sa coupe fluide,
son tissu léger, sa couleur douce et son motif fleuri.
Je l’ai associée à un jean avec des talons pour féminiser.
Ces chaussures étaient issues d’une collab entre André et
le créateur parisien Apologie (2016), elles sont dingues!!!
Je vous avais montré cette robe portée en été, la voici en version hiver.
Autant je trouve qu’en basse Ardèche le climat est assez doux,
enfin du moins il fait plus chaud qu’à Marseille, autant lorsque le
mistral souffle, on est content de ressortir la grosse veste en daim.
Je l’avais achetée en seconde main en décembre 2012, soit au début
du blog et je la traine toujours avec autant de plaisir. Elle a plus de 10 ans
mais ne les fait pas. Merci le vieux Derhy, j’ai encore des manteaux de 2005
nickels. Alors c’est vrai que, acheté neuf, tu lâchais un rein mais au final on s’y
retrouve. J’ai ressorti mon chapeau proto Monstro Diva, la marque marseillaise
spécialisée (ainsi qu’en bijoux en pierre et paniers brodés). J’avoue que c’était
ma passion, mon petit plaisir lorsque j’étais sur Marseille, participer au
vide-atelier de mes copines créatrices. N’ayant jamais roulé sur l’or,
cela m’a permis de vous présenter ici des pièces exceptionnelles
sans avoir à payer le prix fort. Je suis restée pour le reste de la tenue
dans un camaïeu automnal marron/kaki qui se marie bien avec mon
érable de Montpellier en arrière-plan, qui depuis, est nu comme un ver.
C’est assez paradoxal puisque je publie peu en ce moment pourtant je n’ai
jamais autant écrit de ma vie mais les articles que je vous rédige sont
très documentés, techniques, pas dans mon domaine de compétence
à la base, donc très très longs à synthétiser, ne m’en voulez pas si je prends
le temps de bien faire les choses plutôt que de balancer de la quantité.