Crystila en orange, ben oui tout arrive

 

Cette magnifique robe de la marque Essentiel fut une bonne trouvaille de l’été dernier chez Mistigriff, mon destockeur fétiche comme vous l’aurez compris…  Et dire que j’avais grandement hésité à l’essayer car même si elle me semblait grande, il était marqué sur l’étiquette que c’était une taille 36… D’ailleurs j’ai remarqué que cette marque taille hyper large. J’avais trouvé dans une friperie un débardeur en 36 dans lequel je rentre dedans (je fais un 40), ça me fera toujours halluciner les tailles auxquelles on ne peut pas se fier…

Vous me verrez rarement avec du orange, c’est une couleur avec laquelle j’ai du mal à faire amie amie. Pourtant, cela ne me dérange absolument pas sur cette tenue. Je dirais même que c’est l’une de mes robes préférées. Elle est hyper agréable à porter, toute en soie, le tissu est une tuerie de qualité et le croisé dans le dos est très joli.

 

 

 

 

Parlons accessoirisation, j’ai longuement hésiter entre vous montrer ma tenue avec des compensées rouge et un sac en daim assorti mais finalement j’ai choisi le noir, et j’ai bien fait, je trouve le résultat très sympa!

Mon collier en cristal a une histoire, il vient de Prague. Un jour où j’étais partie en séminaire pour mon taf, le big boss de l’époque nous avait proposé de passer la soirée à l’opéra mais il fallait une tenue chic. Entre nanas, nous avons donc été dévaliser les boutiques sur place. Quoi de mieux qu’un beau collier qui réveillerait n’importe quelle tenue fade?

 

 

 

Mon petit sac en cuir vintage provient d’une friperie parisienne du marais. Il était à 10€ mais ayant fait remarquer au responsable que la fermeture était cassée, je l’ai eu à 4€. Quand on a une formation en arts plastiques, on sait réparer n’importe quoi. Une pince à papier achetée en papeterie et une broche fleurie provenant de chez les chinois de la rue de Rome plus tard et on y voit que du feu…

 

 

 

 

Mes chaussures en daim sont l’une de mes dernières acquisitions du marché. J’aime l’aspect clouté qui leur donne un côté rock.

 

 

 

Voilà les filles, j’espère que ma tenue vous plaira. N’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez. En tout cas, ce jour là, j’étais nase et je me suis quand même bien amusée  sur cette série de photos. Non, non, même sous la torture je ne vous montrerai pas celles où je fais le zouave, on dirait trop que je suis saoule 🙂

 

CRYSTILA :

  • Robe : Essentiel Antwerp (15€ chez Mistigriff)
  • Sac vintage : 4€ (friperie parisienne du marais) + 1,50€ de réparation
  • Sandales en daim : Requins (20€ sur le marché du Prado)
  • Collier en cristal : 20€ (Prague)
  • BO : 3€ (rue de Rome)
  • Bandeau : 0,50€ (marché)
  • Lunettes : Ferré

Total : 64€ la tenue 

 

 

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J’ai encore acheté des chaussures, c’est grave Docteur ?

 

Et voilà, simple constatation, c’est indéniable, une nana n’a jamais assez de paires de chaussures dans son dressing…

Il me manquait un basique, une paire de ballerines en cuir noire (style Répetto, mais pas au prix Répetto). Je sais que je peux trouver ce genre d’article sur le marché du Prado, chez mon chausseur italien, présent les lundis et samedis matins, diffusant les invendus de la marque Tamaris que j’adore car elles sont confortables (finies les ampoules) et surtout d’excellente qualité. Je m’y suis rendue avec l’optique : «ma fille soit raisonnable, un budget de 20€ pour ça est bien suffisant et surtout, surtout, tu n’achètes pas autre chose » !!! Mais voilà, toute raison s’envole lorsque l’on me met devant un rayon de chaussures, toutes plus magnifiques les unes que les autres, colorées, toutes à ma  pointure et à un petit prix ! Surtout, qu’au cas où je ne trouve pas chaussure à mon pied chez lui, deux autres destockeurs de luxe de shoes italiennes de folie se trouve un peu plus loin sur le marché, alors autant vous dire qu’il est quasiment impossible de lutter face à tant de choix !!!

Et voilà, voilà comment on ressort avec  2 ou 3 paires d’escarpins qui n’ont rien à voir avec ce que l’on était venu chercher et que l’on explose son budget ! En sortant, on n’est pas fière d’avoir encore succombé à la tentation, mais je n’ai pas trouvé de cure de désintoxication pour les shoes addict comme moi !

 

Mon dernier craquage :

 

 

 

 

Escarpins de la marque de luxe VITA MORI à…. 30€.  Pour les marseillaises, ce destockeur est présent parfois le lundi mais surtout les mardis et jeudis dans la 3ème partie du marché du Prado et le vendredi matin à la Joliette. Attention, beaucoup d’escarpins tels que les miens sont des prototypes de la marque (donc des pièces uniques) mais ne sont qu’en 37 (petit 38 français). Pour les grands petons, rassurez-vous, il y a d’autres modèles…

 

 

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