En discutant avec une amie dernièrement, elle m’a offert une image insoutenable de ce que sont devenues nos vies et l’inhumanité qui en découle simplement en me racontant une anecdote de son quotidien qui l’a profondément marquée. Elle m’a dit qu’elle avait eu, l’espace d’un instant, la sensation que de ne pas avoir de pass sanitaire lui conférait les mêmes droits qu’un chien.
Elle était avec son compagnon en train de choisir une commande à emporter et le patron du resto lui a refusé l’accès au comptoir sans pass. Elle a donc été contrainte d’attendre dehors. Assise sur une marche, un monsieur est arrivé pour commander à son tour et a attaché son chien au poteau la jouxtant. Elle s’est donc retrouvée assise sur cette marche en compagnie du chien et il lui est venu alors à l’esprit que, pour les mêmes raisons sanitaires, elle n’avait pas plus de droit que ce chien de rentrer dans cet établissement…
Un panneau installé dans une vitrine suisse a fait polémique sur la twittosphère. Il y était inscrit « interdit aux non-vax et aux chiens« . Le patron a expliqué par la suite que cela n’avait pas pour but d’être discriminatoire mais qu’il l’avait installé sciemment dans le but de faire réagir et réfléchir, pour alerter sur la cocassité de la situation. En s’y attardant, c’est très grave cette déchéance de citoyenneté qu’une partie des gens ayant pris un statut d’objet (légalement les animaux le sont même si c’est aberrant) que l’on confine partiellement pour le bien commun. Mais je pense être bien plus choquée de la non réaction des gens qui m’entourent face à de telles discriminations que d’un gouvernement appliquant une feuille de route inhumaine. Après tout, pourquoi s’en priveraient-ils si la populace y consent avec enthousiasme? Fiers de débiner un QR Code pour être « libre » de consommer, trouvant normal d’être contrôlés comme des bandits braqueurs de banque à leur table de resto, laissant leur plat refroidir pour s’exécuter au contrôle identitaire face à des policiers armés… Trouver normal de se faire piquer tous les 5 mois pour avoir l’autorisation de vivre et de consommer me dépasse… Si l’on a perdu cette capacité de réagir face à ces méthodes coercitives qui n’ont rien à envier au fascisme, alors on ne mérite peut être pas notre LIBERTÉ.
Chaque jour depuis 13 mois, je tiens une revue de presse des actions mises en place au niveau mondiale. J’analyse les titres de presse, les réseaux sociaux. Une synchronisation d’actions se trament de plus en plus, c’est vraiment visible, du fin fond de l’Afrique, en passant par l’Inde sans compter tous les pays industrialisés. Il n’y a pas de doutes possibles sur une gestion éditoriale mondiale de cette pandémie. Les mêmes phrases employées, les mêmes mots durs face aux résistants, la même haine déployée des non-piqués responsables de toute la misère du monde. Cela n’a rien d’étonnant lorsque l’on sait qui mène la barque : Mc Kinsey dite la firme en rappel du film du même nom…
Si vous voulez voir votre avenir, regardez du côté de l’Australie, de la Nouvelle-Zélande (affiche ci-dessous), du Canada ou de l’Israël qui ont basculé. On y inaugure en grande pompe à la TV des camps covid, on vote des lois pour dé-saisir de leurs biens matériels les « opposants politiques » ou pour rentrer dans n’importe quelle maison sans mandat de juge. On oblige les gens à télécharger des applications utilisant la biométrie et la géolocalisation pour contrôler leur mouvement. On fait survoler des drones dans les rues rappelant les instructions à respecter.
Les slogans « no jab, no job« apparaissent dans tous les médias comme une normalité acceptable. Pouvez-vous imaginer la violence psychologique que cela engendre de devoir choisir entre la possibilité d’avoir un toit, de pouvoir se nourrir ou celle de potentiellement mourir ou de demeurer handicapé, sans recours possible, d’une injection expérimentale? Car contrairement à ce que l’on vous serine à la TV, il n’y a aucune alternative offerte aux gens en contre-indication (qui sont beaucoup plus nombreuses que les 3 évoquées dans un décret rédigé par des politiques n’ayant aucune compétence médicale), mis à part de faire la piqûre dans un centre de réa, juste au cas où… Si après une forte réaction, moins de 2 organes sont touchés, il sera alors obligatoirede faire la seconde, troisième, quatrième injection… C’est un abonnement à vie avec une arme chargée sur la tempe, un droit de jouer à la roulette russe jusqu’à ce que votre corps cède. Pourquoi croyez-vous qu’une partie des soignants préfèrent tout perdre que de s’y plier? Beaucoup ont peur et sont réduits au silence par leur hiérarchie mais ils ont été en première ligne pour voir les conséquences engendrées…
Par exemple, savez-vous que Pfizer a mis à jour une liste de 265 médicaments en contre-indication avec son vaccin, dont notamment la vaccin de la grippe que la HAS a validé pour être injecté en même temps? Non, car même les médecins l’ignorent. En France on vous y incite aussi pour une autre raison très vicieuse, en cas d’effets secondaires graves, il vous sera impossible de le déclarer en pharmacovigilance car on ne pourra pas attribué les effets à l’un ou l’autre des produits injectés… Figurez-vous qu’aux US, les gens étant procéduriers par nature, on fait très attention à limiter les accidents médicaux pour éviter les tribunaux qui sont rapides et réclament des sommes astronomiques. Pfizer marque en gros sur sa notice de ne jamais faire 2 vaccins simultanément par manque de données scientifiques. En France, on s’en fout, y a l’ONIAM qui est censé couvrir les frais. Sauf que les escarpés du vaccin H1N1 n’ont toujours pas touché 1€ de dédommagement. La longueur des procédure fait que les victimes meurent avant d’avoir pu être reconnues et indemnisées. Car le vice du système repose sur le fait qu’il n’y a aucune obligation LÉGALE à souscrire à la vaccination. Si vous le faites, quelque soit vos raisons (même perte de job), légalement c’est de votre responsabilité. En cas de gros soucis, vous devrez être en mesure de prouver que c’est le vaccin qui vous a handicapé et cela relèvera d’une mission impossible. J’ai déjà collecté des milliers de témoignages de gens impactés qui sont désemparés et désespérés, certain songe même au suicide…
Des éditorialistes israéliens suggèrent de « déporter » les non-vax dans des villages où ils résideraient entre eux. En Australie, les peuples aborigènes appellent à l’aide la communauté internationale car pour les faire plier, le gouvernement leur a interdit d’acheter de la nourriture s’ils ne sont pas vaccinés… Dans le Queensland, l’armée va chercher les cas contacts chez eux pour les y extraire de force et les enfermer dans des centres de quarantaines qui n’ont rien à envier aux prisons d’antan. Dernièrement, la presse a relaté le cas d’une dame enfermée 14 jours contre son gré malgré que tous ses tests soient négatifs. En Autriche, les non-vax ont interdiction d’acheter des cadeaux de Noël. Ils ont un délai de 2 mois pour être vaccinés ou ils encourent des amendes de plus de 3600€ (+1400€ par rappel). Le non-paiement sera passible de prison FERME!!! En Allemagne, ils n’auront pas le droit d’être plus de deux à table pour le réveillon. Aux Pays-Bas, la police a tiré à balles réelles sans somation sur les manifestants anti-pass, sans qu’aucun gouvernement européen ne condamne cet acte. Dans nos DOM TOM, le Sénat a voté de couper l’eau courante aux habitants pour les punir. Pour mater la contestation sociale, on n’envoie plus de médiateurs mais le GIGN et des tanks. Mais où va-t-on? Qu’est-on en train d’accepter? Car qui ne dit rien consent. Il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Il est tellement plus rassurant de s’enfermer dans un Truman Show et de s’auto-persuader qu’un QR code vous permet d’effacer le cauchemar des 18 derniers mois pour reprendre la vie d’avant. Ce qui est sûre c’est que la vie d’après que nous construisons risque d’être bien plus insoutenable que la vie d’avant.
On plaisantait encore l’année dernière de la gestion drastique des chinois. Il était « complotiste » de parler du pass pour aller au resto ou pour faire ses courses. 365 jours plus tard, nous avons adopté toutes leurs technologies de pointe de surveillance de masse dans un silence déconcertant. Je ne peux m’empêcher de me demander à quel niveau de violence il faudra arriver pour que les gens acceptent d’ouvrir les yeux? Sans être défaitiste, j’ai bien peur qu’à ce moment-là, il soit déjà trop tard pour renverser la vapeur.
Moi ce que je constate, c’est que nous en sommes au même point que l’année dernière à la même époque, en ayant plus de 80% des habitants vaccinés dans les pays riches… On nous reparle de la possibilité d’être confinés à Noël, de fermetures d’entreprises (discothèques), que nos enfants pourraient encore tuer papi/mamie (ayant reçus 3 doses), du masque qui revient en extérieur alors que la Science a prouvé dans plusieurs études son inutilité dans des masses d’air aussi importantes… Quand est-ce que les gens vont comprendre que toutes les mesures prises n’avaient rien de sanitaire sinon cela se constaterait dans notre quotidien?
Depuis le début de la campagne de vaccination de masse, beaucoup de scientifiques internationaux s’interrogent sur le bienfondé de cette entreprise irréalisable, lancée de surcroit en pleine période épidémique.
Penser que l’on peut éradiquer une zoonose avec un vaccin est de l’hérésie car même en vaccinant 100% de la planète, enfants compris, nous ne pourrions en finir car ce virus a la capacité de se régénérer dans le corps animal afin de revenir plus puissant, contaminant, plus mortel. Le combattre et le contraindre ne fait que le renforcer. A l’heure où je vous parle, nous sommes proche de l’échappée immunitaire mondiale et c’est très très grave. Les médecins du conseil scientifique ont d’ailleurs émis leur réserve dès le mois de février 2021 dans une lettre publiée au Lancet (ici).
Extraits choisis :
Les avantages collectifs de l’immunité collective sont devenus similaires à un mantra dans les stratégies de vaccination de masse, répété par les gouvernements et les chercheurs. Cependant, l’importance de l’immunité collective présentée comme une solution à la pandémie pourrait être sur le point de changer avec l’émergence de l’évasion immunitaire, un changeur de jeu virologique aussi important que l’arrivée des variantes du SRAS-CoV-2. Faire face à l’évasion immunitaire nécessitera une réévaluation des stratégies de santé publique et la création d’un nouveau contrat social fondé sur des preuves.
Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variantes du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus précédents (de type sauvage), voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants d’échappement immunitaire, n’a pas seulement été observée avec le SARS-CoV-2, mais aussi avec d’autres virus. Une telle évolution pourrait être facilitée par le déclin de la réponse immunitaire et notamment de la réponse anticorps. L’arrivée rapide de variants du SRAS-CoV-2 tels que les variants identifiés pour la première fois en Afrique du Sud et au Brésil suggère une soi-disant évasion immunitaire naturelle. De plus, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variants ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant à transmissibilité accrue.
Si une évasion immunitaire importante se produit, les vaccins actuels sont susceptibles d’offrir encore certains avantages aux individus. Au niveau de la population, cependant, ils pourraient induire une sélection virale et une fuite, rendant de plus en plus éloignée la perspective d’obtenir une immunité collective.
Ce changeur de jeu virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. […]
Nous, les scientifiques travaillant contre le COVID-19, devons avoir le courage de nous adresser à ceux qui sont au pouvoir, qui portent la responsabilité ultime des politiques choisies et de leurs conséquences. Si cette responsabilité est éludée ou retardée, le jour inévitable du jugement pourrait être terrible.
Cela fait maintenant quasiment 4 mois que des scientifiques canadiens de l’Ontario, vaccinologues travaillant à la recherche d’un vaccin ARN contre le Covid, ont lancé l’alerte sur la dangerosité de ceux distribués actuellement à cause d’une erreur de conception dans le ciblage de l’antigène. Cela fait 4 mois que je suis dans l’expectative que les médias s’en emparent et informent mais à part un débunkage absolument faux de A à Z de LCI, le silence est assourdissant!!!
Suite à sa révélation à heure de grande écoute, le Pr Bridle a été massivement harcelé, menacé de mort, les répercussions furent terribles. Il fut invité à en témoigner et réexpliquer ses découvertes devant une conférence de presse dédiée à la censure scientifique, donnée le 17/06/21 au parlement de Ottawa, organisée par MP Derek Sloan (trouvée encore icien anglais car censurée sur sa propre chaine d’info canadienne CPAC’s channel/versions françaises toutes censurées aussi)… Scientifiques invités à témoigner : Dr Byram Bridle, Dr. Patrick Phillips and Dr. Donald Welsh. Mettre le curseur à 9’22 pour avoir l’intervention de Dr Bridle, mais toute la conférence est passionnante et très révélatrice sur la volonté de faire taire un grand nombre de spécialistes dans leurs domaines respectifs pour peu qu’ils osent contredire la pensée unique instituée en consensus scientifique.
Voici le débunkage français de LCI que j’ai débunké, s’appuyant sur un article de France Soir… En lisant leur article, on perçoit de suite qu’ils n’ont même pas pris la peine d’écouter l’interview de base, ce qui résulte d’une grave erreur professionnelle à mon sens…
Comprendre le fonctionnement du SARS-COV-2
Revenons sur les bases pour bien comprendre ce qu’il en est et les enjeux.
Une maladie vasculaire
Le SARS-COV2 n’est pas une maladie PULMONAIRE, c’est une pathologie endothéliale (vasculaire) et ça change tout. Or beaucoup de médecins l’ignorent, spécialistes compris, et tentent donc de le soigner avec une mauvaise approche.
Le virus, par le biais de sa protéine spike, va se lier à vos récepteurs plaquettaires ACE2, CD147 (globules rouges) et TMPRSS2 (porte d’entrée du virus) et se servir des fluides corporels pour arriver jusqu’aux cellules endothéliales pour attaquer vos mitochondries, ce qui engendre les problèmes d’hypoxie, de thromboses, d’AVC, des problèmes cardio-vasculaires…
Spike cytotoxique
Des chercheurs ont découvert « récemment » que cette protéine était cytotoxique pour le corps humain. Dans l’étude Yuyang Lei & Jiao Zhang, les chercheurs ont isolé la protéine spike du virus du SARS-COV-2, puis l’ont injecté in vitro dans une reconstitution de tissu humain, puis in vivo, à des souris et par deux fois la protéine a détruit les cellules et occasionné des pertes de tissu. Ce qui prouve que ce n’est pas le virus qui est dangereux mais son antigène le spicule. (article publié fin avril ICI)
Explication de l’étude en français :
Ce qui me pose problème dans le discours médical entendu c’est que l’on a l’impression de découvrir que le spicule du virus est pathogène alors que des publications scientifiques le relatent depuis 2005 alors que l’on étudiait le SARS-COV-1 !!! Dès lors, la question qui me vient à l’esprit est pourquoi quasiment tous les fabricants de vaccins ont choisi délibérément de l’utiliser alors que l’on connait sa problématique? Une étude de 2008 indique même que c’est la nucléocapside du virus qui provoque les pneumonies (et pas le virus qu’elle contient).
Une erreur stratégique de ciblage
Non, vous ne rêvez pas… Que font tous les vaccins mis actuellement sur le marché? Ils sont conçus pour faire fabriquer à votre corps la protéine spike afin de vous immuniser alors que les scientifiques ne peuvent ignorer les dommages qu’elle engendre. L’ARNm injecté (Pfizer/Moderna) fourni un codage génique permettant à vos propres cellules de fabriquer l’antigène. Cela induit un sacrifice de cellules saines de votre corps qui vont être transformées, puis détruites (en théorie). Moderna l’a d’ailleurs appelé le « software of life » (le logiciel de vie). Pour les vaccins J&J et AZ, le vecteur est différent puisqu’on se sert d’un adénovirus OGM pour donner l’information à vos cellules, mais le principe d’immunisation est identique.
La protéine synthétique des vaccins est sensée être transformée (2P Spike brevetée par Jason McLellan/ Fondation Bill Gates) mais en analysant les effets secondaires dans les pharmacovigilances internationales, on découvre que les mêmes symptômes sont déclarés par le patient malade du covid et par les vaccinés ayant mal réagis, ce qui laissent les scientifiques dubitatifs. Ils ont posé la question aux laboratoires concepteurs dans le journal scientifiques BMJ. Aucun labo n’a souhaité répondre sur ce sujet.
Historique de la 2P spike
Ne pas oublier que le codage génique du virus a été fourni « officiellement » par les chinois le 11/01 et que les vaccins ARNm étaient finalisés le 13/01, soit 48h plus tard. Même s’il est vrai que les technologies modernes utilisées pour les concevoir (IA, imprimante Tesla) facilitent leur production, que les chercheurs se sont appuyés sur leurs découvertes du MERS, la recherche a un temps incompressible pour évaluer les risques. C’est d’autant plus grave que cela était prévisible car la protéine spike du MERS et du SARS-COV-1 avaient les mêmes particularités… notamment celle de s’accrocher à nos récepteurs ACE2 avec toutes les conséquences néfastes que cela engendre. Cela avait d’ailleurs déjà fait l’objet de publications scientifiques dès 2015, par le Dr Shi du labo de Wuhan…
Des erreurs aux conséquences lourdes
Autre erreur, parce que malheureusement, il n’y en a pas eu qu’une. Les chercheurs sont partis du principe que le vaccin à ARNm allait se comporter comme un vaccin classique. On injecte la substance immunogène dans le deltoïde, elle est évacuée par les ganglions lymphatiques qui activent le système immunitaire puis est évacuée/ détruite pour ne garder que des anticorps. Ce n’est pas le cas.
Un passage dans le sang
Ce n’était scientifiquement pas prévisible à l’avance, d’où la nécessité de prendre du temps pour tester un produit avant de l’injecter en masse sans en connaître les répercussions, mais la protéine spike antigénique passe dans le système sanguin d’une majorité de gens…
Dans une étude conduite à l’université de Harvard sur 13 jeunes travailleurs ayant reçu du Moderna, 11 ont vu l’ARN passer dans leur système sanguin sur des durées allant de 14 jours à 29 jours (l’expérience n’a pas été conduite plus longtemps). La cohorte a beau être petite, les résultats préliminaires sont alarmants car on sait que les soucis engendrés par la protéine spike (dont la destruction mitochondriale) a lieu lorsqu’elle passe dans le système sanguin.
Stockage dans les organes
Mais cela ne s’arrête pas là. Des scientifiques japonais ont étudié la biodistribution du vaccin Pfizer (celle fournie par le labo à la FDA et l’EMA était bâclée, uniquement réalisée sur 22 rats avant test sur l’homme). Les japonais sont connus pour être les plus rigoureux au monde sur les questions de santé publique. Avant de valider la distribution du produit, ils ont donc demandé une étude complémentaire. L’analyse n’est pas publique, elle a été transmise de manière confidentielle à des scientifiques canadiens travaillant sur la conception de vaccins à titre informatif, qui, choqués, ont pris l’initiative de révéler oralement son contenu au grand public…
Une fois l’ARN dans le sang, il se stocke dans les principaux organes humains (foie, reins, rate, poumons, testicules/ovaires) et franchit la barrière hémato-encéphalique. Les conséquences peuvent être dramatiques dans les années à venir.
Comment va se comporter notre corps une fois confronté au vrai virus si l’antigène est toujours stocké dans les organes vitaux? Notre système immunitaire va-t-il attaqué nos organes et conduire à des défaillances irréversibles? Bien entendu, sans autopsie, il sera impossible de relier la mort à la vaccination…
Dans cette étude allemande de Anita Badbaran & al, que la presse a relaté, mise en ligne fin mai, dont le but est de chercher par quels mécanismes les effets secondaires graves interviennent avec le vaccin Astra Zénéca, on voit que le produit passe dans le sang et se stocke dans les tissus (ici).
Je vous en traduis des extraits (essai conduit sur des gens vaccinés et non vaccinés puis reproduit sur des souris) :
« Début avril 2021, EudraVigilance a signalé un total de 169 cas de thromboses du sinus veineux cérébral (CVST) et 53 cas de thromboses de la veine splanchnique après vaccination avec ChAdOx1 nCov-19. Cette complication grave est désormais appelée thrombopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (VITT , synonyme TTS) ressemble dans une certaine mesure à une thrombocytopénie atypique induite par l’héparine (TIH) impliquant des anticorps activant les plaquettes contre le facteur plaquettaire.
La propagation du vecteur à des tissus distincts pourrait contribuer à des effets secondaires aigus, mais potentiellement aussi à long terme, par ex. causés par des événements d’insertion spontanés. Par conséquent, il est essentiel de développer des méthodes qui facilitent l’analyse sensible de la distribution du vecteur ChAdOx1 nCov-19. Une meilleure compréhension pourrait aider à développer des approches de dépistage de la progression des événements indésirables graves et ainsi soutenir les mesures de prévention et d’intervention précoce.
[…] les nombres moyens de copies étaient plus de deux fois plus élevés à 72 heures qu’à 24 heures après la vaccination. En résumé, ces données prouvent l’utilité du test dPCR présenté pour surveiller la présence d’ADN dérivé du vecteur ChAdOx1 nCov-19 dans le sang humain après une vaccination.
En outre, nous avons évalué si la dPCR pouvait également être appliquée pour détecter les copies du vecteur ChAdOx1 nCov-19 dans différents tissus après une vaccination expérimentale. Nous avons injecté par voie intradermique 50 l de vaccin ChAdOx1 nCov-19 dans la peau dorsale de souris[…] Les animaux ont été sacrifiés 30 minutes plus tard, les organes ont été excisés et l’ADN génomique a été isolé à partir d’organes/tissus distincts […] Comme prévu, un grand nombre de copies du vecteur ChAdOx1 nCov-19 ont été trouvés au site d’injection. La détection de copies du vecteur ChAdOx1 nCov-19 dans tous les tissus analysés a fourni la preuve d’une propagation imminente du vecteur dans la circulation sanguine et dans différents tissus d’organes«
Maladies neurodégénératives
Le passage de la barrière hémato-encéphalique peut entrainer des dommages irréversibles sur le cerveau et le développement rapide de maladies neurodégénératives (quelques mois au lieu de plusieurs années). Les premiers signes d’alerte sont : anxiété, agressivité, dépression, impression d’être un « zombie » (impression déconnexion corps/esprit), troubles de la mémoire, perte de la coordination des mouvements (ataxie), crise de démence. Alors bien entendu, tous ces symptômes peuvent être liés à d’autres pathologies mais il faudra demeurer attentif car le développement d’une maladie de prion (Croswel Jacobs, dite vache folle) est mortel dans 100% des cas, voir étude SENEFF du M.I.T. Il y a maintenant des dizaines d’études sérieuses qui abordent ce sujet épineux (lien avec Parkinson, encéphalopathie spongiforme, syndrome Guillain-Barré, corps de Lewy, scléroses en plaque)…
C’est paradoxal parce qu’alors que l’on sait que ce type de maladie risque d’exploser dans les prochains mois, les instituts français ont décidé de stopper toute la recherche publique en juillet dernier.
Perturbation du cycle féminin
Dès le début de la campagne de vaccination, des femmes israéliennes se sont plaintes sur les réseaux sociaux de changements menstruels après la piqure. Cela n’a bien entendu, comme tout soucis purement féminins, pas été pris au sérieux par les médecins. Il a fallu que des scientifiques/journalistes américaines, souffrent elles-mêmes d’effets secondaires, pour que la parole se délie. En Angleterre, déjà 30k rapports ont été enregistrés dans la base de données de pharmacovigilance. En Espagne, 51% des femmes interrogées ont remarqué des changements dans leur cycle. L’ANSM indiquait miraculeusement fin juillet 265 cas. Nous sommes donc bien loin de la réalité.
Dans tous les articles lus sur le sujet (même à l’étranger), on évoque le stress pour le justifier ou une coïncidence malencontreuse. Le discours officiel se veut rassurant. Mais comment expliquer qu’une femme ménopausée depuis parfois 20 ans saigne à nouveau? On trouve aux USA des rapports VAERS de bébés de 6 mois ayant « leurs règles » après vaccin ou allaitement de mère vaccinée!!! C’est affreux!
Pourquoi personne ne parle du fait que dans les minces études de biodistribution réalisées, l’ARNm se stocke dans les ovaires (7%) ce qui pourrait provoquer les effets secondaires constatés? Cela interroge aussi sur la fertilité des femmes car notre réserve ovarienne ne se reconstitue pas si elle a été altérée!
Pour expliquer ce phénomène, les débunkers utilisent tous l’argument que dans les essais sur animaux, les doses sont plus concentrées que sur les humains, ce qui est vrai mais cela n’enlève rien au fait que cela passe dans les organes alors que ce n’est pas censé être le cas.
Des nanoparticules et des excipients toxiques
Maintenant, passons à l’étude de génotoxicité qui n’a pas été réalisée (pour aucun vaccin). Dans les vaccins à ARNm, il est impossible de bien conserver le brin d’ARNm sans l’envelopper dans une capsule lipidique (nanoparticules). Jusque-là, rien de problématique, SAUF que Moderna (SM102) et Pfizer (ALC-0159/ ALC0315) ont utilisé des molécules encore jamais testées sur l’homme et dont on ne connait pas les répercussions. On sait que les PEG sont très allergisants, bien que la plupart d’entre nous y aient déjà été confrontés dans les produits du quotidien (shampooing, gel douche). Mais ce n’est pas la même chose entre un contact dermique et l’injection pouvant passer dans le sang.
L’EMA avait d’ailleurs souligné le problème dans ce mail.
D’après les données de Pfizer, le lipide cationique ALC-0315 est toxique pour le foie des souris. Le labo prétend que le foie a la capacité de récupérer rapidement après altération mais ne montre aucune preuve scientifique. On sait qu’il reste environ 12 jours dans le plasma et dans le foie (qui s’intoxique en l’éliminant).
Le polyéthylène glycol (PEG) ou ALC-0159 peut provoquer des chocs anaphylactiques. Il demeure dans le plasma durant 6 jours. Il y en a dans Pfizer et Moderna.
Des ingrédients cachés?
L’EMA/FDA cachent dans les documents rendus public 20% des ingrédients utilisés qui sont sensés relever du secret industriel. Les papiers officiels sont tous caviardés. C’est inacceptable que nos autorités de santé empêchent les scientifiques d’accéder à des informations aussi importantes et stratégiques pour la santé publique des citoyens. Aux USA, l’ICAN (Informed Consent Action Network) a fait une demande en traitement accéléré FOIA (Freedom Of Information Act) pour obtenir les éléments manquants.
Un scientifique espagnol a eu la curiosité d’analyser la composition d’une fiole Pfizer avant dilution. Quelle ne fut pas sa surprise de constater que 99% de la substance injectée contenait potentiellement de l’oxyde de graphène (produit non-inscrit sur la notice) alors que c’est très cancérigène et interdit d’utilisation sur l’humain. Alors bien entendu, ça demande confirmation par une étude plus poussée sur une grande cohorte de flacons mais c’est alarmant!
Le labo Pfizer est d’ailleurs connu pour ce genre d’expérience sur humains car il a déjà été condamné plusieurs fois pour ce genre de pratique illégale. Sa pilule anti-tabac Champix a été retirée récemment car elle contenait des substances cancérigènes. Ils ont été condamnés aussi pour leur talc pour bébé cancérigène, pour avoir expérimenté des antibios sur des petits africains et les avoir tués ou laissés handicapés. Bref, on a confié notre santé entre les mains d’escrocs sans éthique et on attend d’eux le salut!
Vous avez dû entendre parler dernièrement des inquiétudes japonaises après avoir découvert des fioles de Moderna présentant des anomalies avec des particules métalliques réagissant aux aimants. Très rapidement, on nous a dit qu’il s’agissait de particules d’acier résultant d’une erreur sur une chaine de montage d’une usine espagnole. Ok, soit. Mais alors pourquoi ont-ils trouvé la même chose dans des fioles de Pfizer? Cette même entreprise fabrique-t-elle les deux vaccins sur la même machine défectueuse? Je ne le pense pas. Une scientifique a émis l’hypothèse que le souci était peut-être apparu au Japon car les flacons ont potentiellement été transportés dans leur TGV à lévitation magnétique, ils sont les seuls au monde à disposer de cette technologie. Cela a peut-être eu pour effet de précipiter les éléments et de les rendre visibles à l’œil nu… Mystère.
A la vue de toutes ces informations relativement alarmantes, quand est-ce que nos autorités de santé vont-elles réellement se pencher sur l’analyse du réel contenu de ces fioles? Il semblerait que personne ne sache vraiment ce qu’elles contiennent. Entre les ingrédients indiqués dans les documents administratifs de l’EMA et de la FDA et la réalité, il peut y avoir un faussé…
Un codage génétique atypique
Des généticiens se sont penchés aussi sur le sujet et leur découverte est inimaginable (code source fourni par l’OMS). L’ARN synthétique n’est pas codé génétiquement selon un modèle classique ACGU mais en ACGY. Or ce codage n’existe pas dans le monde du vivant. Quelles peuvent être les conséquences sur le génome humain? Des spécialistes supputent une recrudescence des cancers, mais en vérité nous n’en avons absolument aucune idée…
Reprogrammation de la réponse immunitaire innée et adaptative
Il a été démontré dans l’étude Konstantin Föhse & al que le vaccin Pfizer pouvait entrainer une reprogrammation du système immunitaire inné et adaptatif. (ici)
En conclusion, le vaccin à ARNm BNT162b2 induit une reprogrammation fonctionnelle complexe des réponses immunitaires innées, qui devrait être prise en compte dans le développement et l’utilisation de cette nouvelle classe de vaccins.
Concrètement cela signifie que votre système immunitaire peut être affaibli par la vaccination et permettre la résurgence de virus stocké en silencieux (comme l’herpès). Cela se voit dans la pharmacovigilance par une recrudescence des cas de zonas (varicelle) qui montrent que ce virus présent à vie dans notre corps et habituellement contrôlé par notre système immunitaire ne parvient plus à le contenir.
On peut aussi se questionner sur ce qu’il se passera lorsque vous rencontrerez un autre virus connu (angine/ rhino), votre corps sera-t-il capable de le reconnaître comme un ennemi à abattre et de le combattre ou non?
Modification des cellules du cœur
L’étude Negron Kessinger & al. alerte sur le fait que la protéine spike du virus attaque aussi les cardiomyocytes (CM = cellules musculaires du cœur auto-excitables portant des récepteurs ACE2 et qui sont incapables de se renouveler chez l’adulte) via le récepteur Toll-like 4 (TLR4) un récepteur crucial dans la détection des agents pathogènes et induisant la réponse immunitaire innée. Ils ont testé l’hypothèse selon laquelle la spike du SARS-CoV-2 endommage le cœur en activant une réponse immunitaire innée des cardiomyocytes, devenant toxique pour elles, pouvant engendrer un dysfonctionnement cardiaque, une hypertrophie cardiaque et une inflammation cardiaque chez la souris.
Qu’en est-il de celle du vaccin? Si l’on regarde les données des diverses pharmacovigilances internationales relatant de soucis de péricardites, myocardites, ou autre, il semblerait que les conséquences soient identiques et c’est bien inquiétant.
Une autre étude pré-print (ici), présentée lors du congrès de la Société européenne de cardiologie, montre que la protéine spike se lie aux cellules appelées péricytes.Ces cellules tapissent les petits vaisseaux du cœur mais elles sont aussi présentes dans tout le corps dont le cerveau et le système nerveux central. Lorsque la liaison se produit, les péricytes commencent alors à libérer des produits chimiques qui provoquent une inflammation de l’organe. Si la protéine de pointe, à elle seule, est capable d’affecter le comportement des cellules, c’est inquiétant car cela suggère que même les cellules qui ne sont pas infectées peuvent être endommagées par le virus, ce qui le rend plus difficile à traiter. Mais les chercheurs ont découvert qu’en bloquant la liaison avec les récepteurs CD147, on peut aider à réduire la gravité cardio-vasculaire de la maladie (et les effets secondaires du vaccin). Savez-vous quelle molécule le permet? L’ivermectine…
« Nous fournissons des preuves que les PC cardiaques ne sont pas infectés par le SRAS-CoV-2. Surtout, nous montrons que la protéine S recombinante seule déclenche la signalisation cellulaire via le récepteur CD147 dans les PC cardiaques, induisant ainsi un dysfonctionnement cellulaire et une perturbation microvasculaire in vitro. Cette étude suggère que la protéine S peut potentiellement propager des dommages aux organes éloignés des sites d’infection, favorisant les lésions microvasculaires. Le blocage du récepteur CD147 chez les patients peut aider à protéger le système vasculaire non seulement contre les infections, mais également contre les dommages collatéraux causés par la protéine S. »
L’ADE semble inévitable
De plus, nous savons que les personnes les plus fragiles sont les personnes âgées, qui présentent une immunosénescence (perte naturelle de l’immunité). Or l’étude Pfizer vient de prouver que leur vaccin ARNm voyait décroitre leurs anticorps après 8 semaines. On sait qu’une immunité basse provoque un phénomène ADE (très courant avec les coronavirus) en cas de contact avec le vrai virus. Au lieu de protéger, le vaccin se montre alors facilitant pour infecter le corps. Les labos le savent, d’où la nécessité de nous vendre des rappels tous les 6 mois pour booster notre système immunitaire mais aussi nous injecter du poison supplémentaire à chaque fois.
Les vaccins distribués actuellement sont basés sur la souche originelle de Wuhan, ce qui semble favoriser la facilitation de l’infection face au variant Delta selon 2 études disponibles (française ici) et (japonaise ici)
Des mensonges d’état
Pas d’effets secondaires graves connus après 2 mois…
Lorsque j’entends les médecins de plateaux TV dire à heure de grande écoute que les vaccins sont sûrs et que l’on ne connait aucun effet secondaire invalidant passés les 2 mois, je m’étouffe. Dans les 10 dernières années, quasiment aucun vaccin n’a obtenu le feu vert pour une commercialisation, peu ont passé la barre des essais cliniques sur les animaux. Le seul distribué fut le DENGVAXIA de Sanofi aux Philippines (article à lire absolument pour voir comment la corruption a permis ce drame ici). Il a fallu 2 ans pour découvrir qu’il tuait les enfants séronégatifs, par phénomène ADE, ceux qui n’avaient jamais été confrontés au virus de la Dengue avant leur vaccination. Il a été interdit en Asie, Sanofi a été mis à la porte et un procès est en cours. Vous voulez rire? L’EMA le préconise toujours pour les européens partant dans les pays à risque. Ils ont juste mis une mise en garde concernant les enfants alors que l’on sait que le problème est la non-confrontation au virus (ce qui est fréquent en Europe).
Les effets secondaires les plus fréquents sont bénins
On vous rabâche que les effets secondaires graves sont rares et que ceux ressentis après la piqûre les plus recensés (fièvre, mal de crâne, fatigue) sont bénins et prouvent que le produit fonctionne. Cela est FAUX.
Il faut savoir que la fièvre détruit les adénovirus. Donc si vous réagissez avec une forte fièvre après AZ ou J&J, votre corps tue potentiellement l’agent censé vous immuniser…
Le mal de crâne violent et inhabituel peut être un signe de fuite de capillaires et un potentiel signe avant-coureur d’AVC.
Après avoir constaté chez ses patients un nombre conséquent d’effets indésirables inquiétants, un médecin canadien, Charles HOFFE, a voulu en avoir le cœur net. Il a conduit une étude observationnelle chez sa patientèle. Il a donc demandé à ceux souhaitant se faire vacciner d’effectuer une analyse sanguine des D-dimères avant vaccin et 7 jours après. Bilan : 62% avait un taux anormalement élevé, ce qui signifie que 62% ont eu des possibles micro-thromboses invisibles aux examens classiques mais engendrant une perte capillaire importante et irréversible. 2 de ses patients ont présenté une perte à l’effort et ne peuvent plus réaliser des tâches quotidiennes, ce qui prouve qu’ils ont subi une perte mitochondriale pulmonaire handicapante. Je ne saurais que trop vous recommander de visionner cet extrait de la vidéo-conférence avec des médecins où il expose ses recherches (vidéo YT non encore censurée avec les explications sous-titrées en français)lien
Des effets graves étouffés, sous-estimés et parfois non recensés
Des dermatologues ont alerté car ils reçoivent de plus en plus de patients vaccinés présentant des purpuras des extrémités (similaire aux engelures, pouvant conduire à l’amputation des membres touchés), c’est le signe de micros-angiopathies. (les photos étant difficilement soutenables, je vous les épargne).
Les effets secondaires les plus connus sont les myocardites/péricardites, AVC, thromboses, TTP, pancréatite, rejet d’implants de cornée, augmentation taux PSA (prostate), zona, syndrome de Guillain-Barré, dérèglement hormonaux (menstruation, perturbation du cycle naturel, re-menstruation chez femmes ménopausées). Ils sont très nombreux et malheureusement de plus en plus documentés scientifiquement. J’en ferai un article à part pour vous relater des connaissances dont nous disposons à ce jour scientifiquement.
Si on ajoute à tout cela les problèmes d’agrégation plaquettaire provoquant des thrombocytopénies (TTP = apparition d’anticorps anti-plaquettes), je ne comprends pas comment nos autorités de santé ont pu calculer la balance bénéfice/risque, surtout pour les personnes jeunes sans maladies invalidantes.
Des professionnels de santé censurés ou fact-checkés à outrance
– Comme je vous le disais au début, le Dr Byran Bridle a alerté l’Ontario à la radio (émission d’Alex Pierson), puis devant une conférence de presse organisée par le parlement d’Ottawa. Il a alerté sur les risques liés au don du sang car la protéine spike pourrait affaiblir et tuer les receveurs, ainsi que sur la transmission par l’allaitement.
Mais il est loin d’être le seul.
– Le Dr Mc Cullongh, USA, épidémiologiste, (classé H113, soit meilleur au monde dans sa spécialité) a alerté les sénateurs, il a été reçu en audition par la commission d’enquête.
– Le Dr Kory alerte sur le fait que des traitements existent ce qui permettrait de palier à l’élaboration de nouveaux vaccins, plus classiques.
– Le sénateur finlandais Ano Turtiainen a fait une déclaration retentissante le 09/06 devant le parlement de son pays évoquant un possible « génocide ».
– Le sénateur Ron Johnson (USA) a donné la parole dans des conférences de presse à tous les gens blessés par les essais cliniques et ignorés par les labos
– Le Dr Tess Lawrie en Angleterre a demandé que l’on stoppe tout, le temps d’analyser les effets secondaires de la base Yellow Card, elle a déclaré les vaccins actuels « dangereux et impropres pour l’homme« .
– Le scientifique indépendant Walter M Chestnut publie ses recherches sur les RS pour informer un maximum de gens. Il alerte surtout sur la perte de télomerase (enzyme de l’ADN humain) qui induit un vieillissement cellulaire du corps qui s’accélère après chaque injection
– Les scientifiques Mike Yeadon (ancien vice-président/chef scientifique de chez Pfizer)/ Wolfgang Wodarg ont écrit une lettre alertant l’EMA sur le manque de recul fin 2020
– Geert Vanden Bossche (DVM, PhD, expert en vaccins, ancien de la fondation Gavi et Bill Gates) a écrit une lettre à l’OMS le 06/03/21 où il relatait tout ce qu’il se constate aujourd’hui
– le Dr Vladimir Zellenko (NY) revendique avoir pratiqué une médecine « de guerre » et soigné beaucoup de patients à l’HCQ
– Steve Kirsch, mécène de la recherche médicale, défend les traitements. Il a offert 2M€ à celui capable de lui prouver scientifiquement que les directives thérapeutiques de l’OMS/NIH sont justes
– L’inventeur de la technique ARN, le Dr Robert Malone alerte sur l’ADE et le risque pour les jeunes
– Peter Doshi, éditeur sénior du BJM, demande dès janvier des données supplémentaires aux labos (laissé sans réponse) ici
– Dr Richard M Fleming, MD, PHD, cardiologue et prof d’université, USA, enquête sur le covid, ses origines, la possibilité que cela soit une arme biochimique (ce que des documents chinois sous-entendent)
– Christian Velot du CRIIGEN, spécialiste en génie génétique, prévient d’une possible échappée immunitaire à cause de la vaccination de masse
– Une oncologue canadienne, Deanna McLeod, a alerté sur le risque pour les femmes enceintes après avoir découvert une manipulation des chiffres dans l’étude clinique justifiant de l’innocuité. Au début de l’essai, 82% des femmes au 1er trimestre ont perdu leur fœtus (104 sur 127 enceintes de moins de 20 semaines) mais cela a été dilué dans une cohorte plus grande de femmes au 3eme trimestre pour rapprocher ce chiffre de la norme naturelle (10/26%).
Depuis, le NEJM a corrigé l’interprétation de l’étude, mais celle-ci a servi à lancer la campagne de vaccination chez les femmes enceintes dans plusieurs pays alors qu’aucune autre étude clinique n’avait été réalisée…
Je ne vous cite ici que les interventions « officielles » mais ils sont des milliers sur les réseaux sociaux à parler, témoigner, alerter de ce qu’ils constatent sur le terrain… Comme une reprise du cancer chez ceux en rémission ou une aggravation subite et violente (comme Axel Kahn, à qui on avait annoncé une espérance de vie de 2/3 ans, parti 5 mois après vaccin, et qui a compris à ses dépens avant de mourir que cela avait été une erreur)…
Aujourd’hui en France, nous sommes confrontés à une obligation vaccinale déguisée d’une grande partie de la population. Vous songez peut-être que nos gouvernants ignorent tout ceci? Mais non, ils le savent, c’est aussi la raison pour laquelle ils accélèrent le calendrier depuis début juin que les révélations transparaissent car elles ne pourront être encore contenues bien longtemps. Et puis les labos étaient censés fournir plus de preuves d’efficacité au 31/07 afin de prolonger leurs autorisations conditionnelles, ils ne l’ont toujours pas fait, ce qui me parait peut envisageable avec les données actuelles. Enfin, vu le niveau de corruption des institutions, tout est malheureusement possible… Savez-vous par exemple qu’il n’y a plus de branches contrôle dans les essais cliniques sensés s’achever en 2023? Par soucis « d’éthique », ils ont proposé la vaccination à tous après 3 mois d’études… Nous avons donc un recul scientifique de 3 mois sur les vaccins et non de 1 an car sans groupe contrôle il devient impossible de faire une comparaison scientifiquement acceptable.
Nous avons abordé les dernières fois (ici) et (ici), les secrets ayant entachés les deux molécules les plus populaires pour soigner le covid : l’hydroxychloroquine (HCQ) et l’ivermectine (IVM). Nous avons pu voir ce qui a conduit à leurs évictions des protocoles, les sabotages des divers essais cliniques ou méta-analyses les incluant, ainsi que les fraudes scientifiques avérées et la censure des publications scientifiques les concernant. Je ne reviendrais pas dessus ici, je pense en avoir fait le tour. Elles partagent un défaut commun pour Big Pharma : elles sont des molécules qui ne sont plus rentables car tombées dans le domaine public. De plus, les repositionnements ne permettent pas aux chercheurs de recevoir des gratifications professionnelles (notoriété internationale, Nobel).
Elles ne sont hélas pas les seules à souffrir de cette pénalité. Je vais vous présenter dans les 3 premières parties de cet article les médicaments qui pourraient être utilisés pour soigner ou prévenir le Covid, mais celui-ci ne serait pas complet si je m’abstenais de vous parler des molécules nouvelles que les labos veulent nous vendre (très cher). Attention, je ne suis pas en mesure de vous dire si elles seront efficaces ou pas (à moins d’une étude indépendante, ou en vie réelle, puisse le confirmer). Mais vous ne pourrez plus ignorer leurs noms et pour certaines, les petits secrets pouvant nuire à leurs réputations… Je sais que cet article n’est pas facile à appréhender, très long à lire, il est plus destiné à être conservé en cas de besoin ou à informer vos médecins sur le potentiel de certaine molécule car nombreux semblent ignorer les résultats des essais cliniques car, faute de temps, ils se contentent des données gouvernementales. Je peux vous le faire parvenir en PDF sur simple demande par mail. ATTENTION, il n’est pas non plus une invitation à vous automédiquer, cela peut être dangereux, toujours demander l’avis d’un médecin avant de prendre quoi que ce soit.
Pour soigner, il faut d’abord comprendre comment le virus nous atteint. On a pu lire un peu tout et n’importe quoi sur ce virus, notamment que c’était une maladie pulmonaire. Cela est faux, elle est endothéliale (vasculaire) et ce n’est pas la même approche. Je vais simplifier un maximum pour que cela soit compréhensible par tous. Lorsque le virus entre dans votre corps, sa protéine spike va chercher à se fixer sur vos récepteurs plaquettaires ACE2 pour atteindre l’endothélium (couche interne des vaisseaux sanguins) puis elle détruit les mitochondries de vos cellules qui fournissent énergie/ l’oxygène à votre corps. Cela conduit au phénomène hypoxique (manque d’oxygène dans le sang) que l’on a longtemps attribué à un souci pulmonaire. Cela peut aussi entrainer des soucis de caillots sanguins, des micro-thromboses, les ennuis cardio-vasculaires, AVC et pleins de problème sous-jacents. Ainsi, pour soigner, tous traitements qui empêchent la liaison entre la protéine du virus et nos récepteurs semblent recommandés dès les premiers symptômes… Après 8-10 jours, on assiste d’abord à une défaillance immunitaire, puis à une tempête cytokinique (emballement immunitaire inflammatoire) qui elle, conduit à des lésions pulmonaires pouvant mener à une défaillance multi-organes. Il est souvent alors trop tard pour intervenir.
Les repositionnées :
CLOFOCTOL / OCTOFENE
Dès le début de la crise Covid, le labo Pasteur Lille s’est lancé à corps perdu dans le repositionnement d’anciennes molécules connues car ils possèdent la plus grande chimiothèque européenne.
En octobre, ils annoncent avoir découvert une molécule connue qui fonctionne in vitro. Ils demandent alors un financement à l’État pour poursuivre leurs recherches. Bilan, un silence assourdissant. C’est le milliardaire Bernard Arnault du groupe LVMH qui va leur offrir 5 millions d’euros pour poursuivre leurs travaux. Les chercheurs découvrent qu’in vivo (sur le modèle animal) cela fonctionne aussi. Ils demandent alors à l’ANSM l’autorisation de passer en essai clinique pour pouvoir le tester sur l’homme dès début février. On leur refusera le label « Priorité nationale de recherche » permettant l’accélération des processus administratifs. Dans la presse, nous pouvons lire que la décision est confidentielle et que les raisons n’ont pas à être dévoilées. Moi je vais vous la dire la raison : CAPNET, qui évalue les autorisations, est piloté par les membres de REACTingde l’INSERM, les mêmes qui ont dévalué Raoult, l’IHU, toutes les autres molécules repositionnables et qui roulent à coups de gros liens d’intérêts pour Big Pharma… La même semaine où était refusé le label pour Pasteur Lille, la voie royale fut établie pour les monoclonaux, hasard calendaire sans doute…
Bilan, il s’en est fallu de peu que les scientifiques de Pasteur Lille soient contraints d’aller faire leur essai clinique à l’étranger!!!
Ils ont obtenu l’autorisation le 07/04/21 mais cela a eu pour conséquence de retarder la mise à disposition éventuelle du produit initialement prévue pour juin…
Action du Clofoctol :
– Pris aux 1er symptômes, il réduit la charge virale et évite la contagion
– Pris plus tard, il évite les formes graves car il soigne les infections respiratoires.
Le 13/06/2021, Pasteur Lille a obtenu le feu vert des autorités pour enfin tester son suppositoire…
COLCHICINE
La Colchicine est un anti-inflammatoire, un alcaloïde extrait d’une plante de la famille appelée « poison des fuseaux ». Elle soigne la goutte, la maladie de Betiget, les péricardites aigües idiopathiques. Elle ne doit pas être administrée avec un macrolide. Elle est autorisée par l’ANSM depuis le 03/02/1995.
Testée dans l’essai COLCORONA au Québec (ClinicalTrials.gov number : NCT04322682), sur des patients non-hospitalisés (essai arrêté le 20/01/21 pour des soucis logistiques), c’est le Dr Jean-Claude TARDIF de l’Institut cardiovasculaire de Montréal qui a découvert son efficacité sur le covid19 et l’a publiédès le 27/01/2021 (pré-print).
S’en est suivi, comme pour l’HCQ, une nuée d’articles fact checking dans nos médias pour expliquer son inefficacité et son extrême dangerosité (on va lui reprocher sa marge thérapeutique étroite et la possibilité d’engendrer des embolies pulmonaires) …
Elle sera ensuite testée dans l’essai britannique Recovery par les Pr Peter Horby & Martin Landray (université Oxford). Clinicaltrials.gov (NCT04381936)
Financé en partie par la fondation Bill & Melinda Gates
Arrêté le 05/03/21, l’essai a conclu que la molécule n’était pas efficace sur les patients hospitalisés.
L’info sortira en publication pré-print ici le 18/05/21 et sera reprise dans l’heure par tous les médias mainstream. Toujours l’emploi de ce même processus pour discréditer les repositionnements.
Voici un exemple affligeant parmi tant d’autres, que j’ai sélectionné car le média a fait appel à l’excellence et sérénissime Nathan Smada-Pfeiffer (anti IHU, HCQ, IVM), le second étudiant le plus plébiscité pour donner son avis éclairé (négatif) dans la presse, après son copain doctorant Thibaut Fiolet… Je ne peux m’empêcher de me faire la remarque, à chaque fois que je vois sa tête à la TV, sur les RS ou son nom dans les hebdos, qu’avec tous les spécialistes reconnus que l’on a en France, pourquoi toujours solliciter ce type, encore en doctorat en octobre dernier??? Peut-être à cause de son tonton à l’AP-HP, ou bien parce que l’INSERM lui a financé une partie de ses études à Londres et qu’il se doit de rembourser sa dette… Enfin, j’en reparlerais dans un article dédié car il y a énormément de choses à redire sur le sujet.
AZITHROMYCINE
L’AZI est un antibiotique de la famille des macrolides. Comme tout antibiotique, il ne faut pas en abuser et prioriser son utilisation lorsque l’on a vraiment besoin pour éviter les soucis d’antibiorésistance qui, malheureusement, ne sont pas nouveaux. Vous vous souviendrez aisément des slogans publicitaires « les antibiotiques, c’est pas automatique« .
Elle a un effet anti-inflammatoire et immunomodulateur. In vitro, elle s’est montrée antivirale sur les cellules épithéliales bronchiques (Gielen et al 2010), par blocage de l’internalisation + induction de l’immunité innée notamment par les interférons. C’est un médicament classique prescrit dans les soins des complications grippales au niveau bronchique et pulmonaire. Ne pas la prendre à jeun (comme dans de nombreux essais cliniques) mais en mangeant car la nourriture augmente sa biodisponibilité. Par précaution, ou parce que le Pr Raoult en a parlé, on a recommandé aux médecins de ne pas en prescrire dès juin 2020.
Il n’y a pas vraiment d’essais cliniques où elle ait été utilisée seule, mais toujours en complément (HCQ, IVM), hormis l’essai Recovery qui teste de molécules sur des patients mourants depuis le début, à 81% sous oxygénothérapie/ invasion mécanique, et qui se désespère de trouver une molécule fonctionnant dans ces conditions lamentables. Donc ce n’est pas un scoop si il conclut que l’AZI ne fonctionne pas sur les patients hospitalisés (Lancet).
Cependant, en temps de crise, les études observationnelles sont reconnues comme valables. De nombreux médecins témoignent avoir soignés leurs patients avec cette molécule et n’avoir pas eu d’échec. Ils ont tous été sommés de se taire par le conseil de l’ordre des médecins ou ont été poursuivis en justice, une honte!!! La nouvelle mode est de les convoquer à une expertise psychiatrique si ils refusent de suivre la pensée unique…
Bien entendu, comme toutes molécules repositionnées, on lui reproche de favoriser la Gonorrhée mutante et les champignons noirs (black fungus) en Inde. Pour ces derniers, une explication scientifique plus plausible a été avancée, cela pourrait provenir d’un taux d’humidité important en cette saison de mousson avec l’utilisation d’oxygénothérapie…
Parmi les macrolides, la CLARITHROMYCINE est, semble-t-il, encore plus efficace que l’AZI.
BUDESONIDE
Corticoïde ayant une action anti-inflammatoire sur l’épithélium bronchique. Cette poudre, utilisée comme inhalation contre l’asthme persistant, semble très efficace pour éviter la progression de la maladie. Le premier essai clinique (STOIC), financé par des fonds publics (NIHR UK) et privés (AstraZénéca qui vend un produit à base de la molécule) a vu ses résultats publiés dans le Lancet le 09/04/21. Ceux-ci suggèrent que les corticoïdes inhalés permettraient de prévenir la dégradation de l’état de santé chez une grande majorité des patients Covid-19, traités à domicile, dès l’apparition des symptômes. Comme l’ivermectine et la dexamethasone, ce médicament diminue l’expression des récepteurs ACE2 utilisés par le virus pour entrer dans les cellules.
Pour en savoir plus, je vous recommande cet article dans le média suisse Heidi
DEXAMETHASONE
Un autre corticoïde de synthèse (stéroïde) ayant un effet anti-inflammatoire, distribué depuis le 12/11/1993. Les corticoïdes inhalés ont pour principal effet de diminuer la réponse immunitaire au niveau des muqueuses respiratoires. Testé dans l’essai RECOVERY, c’est l’une des rares molécules ayant montrée quelques signes d’efficacité sur les patients hypoxiques. À dose élevée, comme avec le protocole d’Oxford, l’inhalation produit aussi un effet immunosuppresseur systémique lors du passage dans le sang. Elle a démontré sa capacité à réduire la mortalité chez les patients oxygénés ou sous ventilation mécanique invasive.
Par contre, elle a un inconvénient majeur, elle est très mutagène comme le Remdesivir.
Elle a reçu une autorisation de l’EMA 18/09/2020 et de l’ANSM le 20/01/2021, uniquement chez les patients adultes et adolescents (âgés d’au moins 12 ans et pesant au moins 40 kg) présentant une atteinte respiratoire et nécessitant une oxygénothérapie.
AVIGAN / FAVIPIRAVIR (Fujifilm Japon)
L’Avigan est un antiviral, existant depuis 1990, positionné pour soigner la grippe depuis 2014. Il inhibe une enzyme virale appelée RNA polymérase afin d’éviter la réplication virale dans les cellules humaines. Il ne doit pas être utilisé ni chez les femmes enceintes car il affecte le fœtus, ni chez les enfants/ados.
Testé avec succès en essais cliniques au Japon, en Chine, en Russie, en Inde & en Thaïlande. Il est testé aussi aux USA et UK (Oxford). Il est déjà commercialisé pour le traitement du Covid, en ambulatoire pour des patients ayant des symptômes légers à modérés : en Russie, au Bangladesh, au Pakistan, en Jordanie, en Égypte & en Arabie Saoudite.
Il peut être utilisé en complément de la Dexamethasone.
FLUVOXAMINE /(Luvox/ Floxyfral®)
Anti-dépresseur/ anxiolytique appartenant à une classe de médicaments appelés inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS). Il pourrait avoir une action thérapeutique sur le covid en engendrant une diminution de la production de cytokines, responsable de l’emballement immunitaire et de l’hypoxie.
Comme tout médicament de cette classe, il peut présenter de nombreux effets secondaires tel une dépendance sérotoninergique se manifestant par une anxiété, une irritabilité, une insomnie, ainsi que des troubles digestifs ou encore un risque de torsades de pointes. Il peut aussi être lié à un risque accru de cataracte mais je ne pense pas que cela ait une incidence pour un traitement de très courte durée.
Les premiers résultats ont été publiés le 12/11/2020 dans JAMAsuite à un essai clinique canadien (étude Stop Covid 2).
L’AP-HP avait découvert, depuis l’été 2020, que les patients sous cette molécule étaient moins amenés à être hospitalisés/intubés mais la France a refusé d’étudier la question. Il a fallu que le médecin Nicolas Hoertel de l’AP-HP en parle sur un plateau TV pour que la presse fasse mine de le découvrir avec plus de 6 mois de retard.
NITAZOXANIDE (Alinia, Romark Laboratories)
Le nitazoxanide est un anti-infectieux protozoocide (anti-parasitaire) qui est actif sur les diarrhées provoquées par Crypyosporidium parvum et Giardia intestinalis chez les adultes et les enfants immunocompétents. Commercialisé aux États-Unis depuis 2002, en France il dispose d’une ATU depuis 2005.
Cette molécule n’attaque pas le virus directement mais elle va créer un environnement défavorable à sa progression dans nos cellules. Elle a un effet inhibiteur sur la protéine Spike du SARS-COV2 mais aussi sur les cytokines qui sont à l’origine de la sur-inflammation pulmonaire conduisant à une forme grave.
Testée en essai clinique aux USA (NCT04486313), les premiers résultatssont encourageants. Concrètement, elle pourrait réduire le taux d’hospitalisation de 79% (par rapport au placebo) et de 85% la progression vers une forme grave.
MEFLOQUINE / LARIAM 250mg
Antiparasitaire-Antipaludique de synthèse (4-quinoléïne -méthanol) ayant une AMM depuis le 17/05/1985.
Empêche la réplication virale en empêchant la liaison de spike avec les récepteurs ACE2 et TMPRSS2 selon une étude japonaise. De plus, pour renforcer l’activité antivirale, l’équipe a étudié la possibilité de la combiner avec le nelfinavir qui inhibe l’étape de réplication du SARS-CoV-2. Ils ont observé que les deux médicaments agissaient en « synergie » et que l’association médicamenteuse montrait une activité antivirale plus importante que lorsqu’ils étaient utilisés seuls, sans être toxique pour les cellules.
LORATADINE (Clarityne®)
Molécule antihistaminique (anti-H1) indiquée dans le traitement symptomatique de la rhinite allergique et de l’urticaire chronique idiopathique.
Selon une étude chinoiseayant testée 2 molécules in vitro (loratadine & Desloratadine /Aerius®), elles montreraient leurs capacités à protéger les récepteurs ACE2 attaqués par la protéine Spike du virus en empêchant leur liaison.
De plus, nous savons que le covid active excessivement le système immunitaire par le biais des cellules mastocytaires (mastocytes). Ces dernières sont sous dépendance de l’histamine et libèrent de l’histamine. Dès lors, toute substance en capacité de réduire la production de cet acide aminé ne peut qu’avoir un effet bénéfique, comme le blocage des événements situés en aval de l’activation histaminique (blocage IL1, IL6, IL8, TNF…). Les antihistaminiques induisent aussi une diminution de la production des cytokines (particulièrement des interleukines).
Sachez qu’en France, 4 médecins de l’Est ont tenté d’alerter par toutes les moyens les institutions de leur découverte autour des bienfaits de cette molécule. Bilan, Le M.I.T. (USA) s’est montré intéressé par leur découverte mais le Conseil de l’Ordre des Médecins s’est acharné contre eux. 3 ont été licenciés, le 4ème est toujours en justice.
Il existe d’autres molécules qui mériteraient d’être testées comme la cétirizine (Zyrtec®ou Virlix®), l’ébastine (KESTIN® ou KESTINLYO®). Sachez que la diphenhydramine, l’hydroxyzine, l’azelastine ont été testées avec succès aux USA par l’université de Floride en décembre 2020 sur 219k patients.
Coïncidence ou pas, la Clarytine a été retirée de la vente par son laboratoire début juillet 2021. Je suis bien placée pour le savoir car je soigne mes allergies avec depuis plus de 20 ans et qu’elle est dorénavant introuvable, du jour au lendemain. Il reste son générique la Loratadine. Je spécule peut-être, mais le timing est toujours parfait entre l’issue d’essais cliniques favorables et le retrait des molécules du marché…
BROMHEXINE / Bisolvon®(Sanofi)
La bromhexine, ou bromhexine hydrochloride, est un dérivé synthétique de la vasicine, un principe actif végétal tiré d’une plante médicinale indienne appelée Adhatoda vasica.
C’est un expectorant prescrit dans les troubles de la sécrétion bronchique ayant son AMM depuis le 02/06/1997.
Il est intéressant dans la lutte contre le covid car il se comporterait comme un inhibiteur sélectif et puissant de la TMPRSS2 (jouant un rôle dans l’invasion de l’épithélium des voies respiratoires humaines, notamment par la protéine spike du virus). Les premiers essais cliniques sont encourageants. Chez les personnes infectées par le SARS-CoV-2, la bromhexine en association avec l’hydroxychloroquine pourrait bloquer l’entrée complète du virus dans les cellules hôtes, via leur action synergique. (doc info suisse ici)
FARXIGA
Proposé par le labo AstraZeneca, ce médicament soigne les diabétiques. Il n’a apparemment pas été jugé efficace après un essai clinique de phase 3, mais le labo se positionne aussi sur les traitements monoclonaux, bien plus rentables.
Les Interférons :
Les interférons (IFN) sont des glycoprotéines de la famille des cytokines qui sont naturellement produites par les cellules du système immunitaire. Ils sont recensés sous 3 types : alpha, bêta et gamma. Les interleukines sont généralement libérées par les cellules infectées par un virus afin d’inhiber leur propre prolifération et en informer les cellules voisines. Elles ont une action antivirale et stimule le système immunitaire en augmentant la capacité des antigènes.
Cette thérapie est utilisée pour traiter des scléroses en plaque, les hépatites (B, C) ou certains cancers.
Testés dans l’essai Discovery de l’INSERM (en association du lopinavir & ritonavir) et Solidarity (OMS), ils n’ont pas montré un intérêt majeur dans la mortalité, mais comme toutes les molécules testées dans ces essais… A ma connaissance, ils ne sont pas encore autorisés en France pour le covid (sauf essais cliniques), je n’ai pas trouvé d’AMMc, RTU, ATU…
Interféron bêta 1-a / SNG001 (Synairgen / Merck)
L’interféron bêta est une molécule naturellement produite par le corps humain qui permettrait de réduire les risques de développer une forme grave de la maladie. Elle est utilisée dans la sclérose en plaques. Le traitement se fait par inhalation avec un nébuliseur pour aller directement dans les poumons.
Interférons alpha-2b / IFN-a2b
Utilisés pour leur propriété antivirale dans le traitement de l’hépatite C. Expérimentés par les chinois contre le covid, ils ont constaté que leur utilisation permettait de réduire significativement la présence du virus dans les voies respiratoires supérieures et d’éviter de recourir à une oxygénation ou intubation. Les chercheurs ont aussi constaté une diminution des marqueurs inflammatoires IL-6 responsables de l’orage cytokinique.
Pharmacopée traditionnelle :
Soyons honnêtes, nous n’avons rien inventé à la base, la quasi-totalité des molécules anciennes qui nous soignent proviennent de plantes traditionnelles. Alors bien entendu, elles ne sont pas magiques et ne vont pas faire de miracles. Elles sont très utiles pour les maux du quotidien. La nature est plutôt bien faite, elle garnit sa phytothèque de tout ce qui pourrait servir à l’homme à se soigner.
Herbe à pic (Zèb a Pik) :
Le laboratoire Phytobôkaz a découvert que cette herbe traditionnelle en Guadeloupe avait la capacité de contrarier la reproduction de nombreux virus à ARN (covid, rougeole, Zika). Elle rend les cellules hôtes du virus hostiles à son développement et à sa réplication.
Je ne vous raconte même pas la tête des labos pharmaceutiques après cette annonce tonitruante dans la presse locale, qui a été relayée en national. Dire à la TV à une heure de grande écoute qu’une plante peut tuer des milliards de dollars de profit en vaccins vendus sur les 3/4 de la planète… Bizarrement, nous n’entendons plus parler du tout du Dr Henri-Joseph et de sa découverte RÉVOLUTIONNAIRE.
ARTEMISIA ANNUA : (COVID-ORGANICS/ CVO)
L’armoise a un long historique d’utilisation en médecine chinoise (plus de 2000 ans) ainsi qu’en médecine ayurvédique pour ses propriétés sur les fièvres causées par des infections type malaria ou paludisme. Ses principes actifs stimulent le système immunitaire. Elle peut traiter l’hypertension artérielle et soulager les douleurs dues aux phlébites ou varices, c’est aussi un fluidifiant bronchique. Son composé biologique actif est puissant et a des propriétés antifongiques, antiparasitaires et antibactériennes.
Bien entendu, elle est interdite en France, que ce soit en phytothérapie, en herboristerie ou dans les composés médicinaux.
L’IMRA (Institut malgache de recherches appliquées) a mis au point une décoction composée à 62% d’artémisia annua et d’autres plantes médicinales tenues secrètes pour soigner le Covid, ainsi qu’une solution injectable pour les patients hospitalisés en détresse respiratoire. En 2003, les chinois avaient démontré sa capacité antivirale sur le COV-SAR (SRAS).
L’OMS a décidé d’inclure le Covid-organics dans un bras de son essai clinique Solidarity le 20 mai 2020. Depuis plus aucune nouvelle, aucune info, ni sur le web, ni les RS, les résultats n’ont JAMAIS été publiés!
J’ai juste trouvé le blog de cette asso humanitaire française qui parle de l’évolution des découvertes et des essais cliniques entrepris dans le monde (ici).
Le 20/06/2020, sans même attendre les résultats potentiels de l’essai, l’Académie de Médecine se positionne contre l’utilisation de la plante.
Ainsi que l’INSERM avec un article écrit, ENCORE, par un scientifique du consortium REACTing… (ici)
Des chercheurs américains de l’université de Columbia, de Washington et du Worcester Polytechnic Institute s’étaient montrés enthousiastes à tester in vitro la plante sur le SARS-COV-2. Un article en pré-print a été mis en ligne le 08/01/21, validé et publié dans le Journal of Ethnopharmacology (dispo ici).
Le 02/10/2020, le président Andry Rajoelina a inauguré une nouvelle usine (Pharmalagasy) qui produit le médicament renommé CVO-plus.
Ce qu’on lui reproche en France : troubles du rythme cardiaque mortels
Il s’agit d’une association de substances issues d’huiles essentielles de plantes comme l’origan ou le thym.
Un puissant effet antiviral ayant un effet inhibiteur sur la réplication du virus, associé à un effet immunomodulateur.
Posologie utilisée : 10 gouttes toutes les 4h
J’ai cru comprendre qu’il y avait eu 9 mois d’essai clinique (conduit par l’État) sur des malades graves, intubés. Taux de réussite annoncé : 100% (ce qui me parait impossible)
Comme vous pourrez vous en douter, je n’ai pas trouvé d’articles en français dithyrambique sur la molécule, le plus factuel trouvé est celui-ci. Ne soyons pas médisante mais le simple fait de savoir que les GAFAM avait censuré la page du président qui l’avait recommandée + la lecture d’articles à vomir sur France Inter & co m’ont interpellée. Ça rappelle tellement le sort de l’IVM et l’HCQ que même sans essai clinique, je suis presque sûre que ça marche LOL! Non plus sérieusement, vue la propagande gouvernementale dans le pays, cela me parait peu probable que les chiffres annoncés soient fiables mais cela ne veut pas non plus dire que la molécule soit inefficace. A suivre…
Racine d’aconit :
Il s’agit d’une racine qui pousse dans les montagnes du Kirghizstan. De son nom latin Aconitum napellus, plus communément connue comme gueule-de-loup, casque de Jupiter ou navet du diable.
Elle est considérée comme étant très toxique (comme de nombreuses plantes), cependant elle est utilisée en phytothérapie depuis des décennies (en teinture mère) ainsi qu’en homéopathie. Bien qu’il soit difficile d’évaluer l’efficacité d’un tel traitement sans essais cliniques ou ni même remontées observationnelles, on peut constater que parmi les propriétés de la plante, beaucoup de ses bienfaits ont un rapport avec les symptômes du Covid.
Prophylaxie (prévention) :
Les vitamines :
Vitamine C (acide ascorbique)
La vitamine C intervient dans de grandes fonctions de l’organisme :
défense contre les infections virales et bactériennes,
protection de la paroi des vaisseaux sanguins,
assimilation du fer,
action antioxydante
cicatrisation.
Un bon apport en vitamine est toujours une bonne option pour protéger son organisme. Cependant, l’utilisation de vitamine C dans le traitement du covid a surtout été réalisé à haute dose en intraveineuse sur des patients hospitalisés.
Vitamine B6 (pyridoxine)
La vitamine B6 figure parmi les premières lignes de défenses contre l’infection covid19. Elle est un nutriment anti-thrombotique et anti-inflammatoire. Elle exerce un effet protecteur sur le système cardiovasculaire en supprimant les inflammations et le stress oxydatif. Elle calme la tempête cytokinique qui conduit à des aggravations pulmonaires.
Elle a une relation étroite avec le système immunitaire. Les personnes souffrant de maladies chroniques inflammatoires (diabète, obésité, cardiaque) ont un taux généralement bas.
Vitamine D
La vitamine D est surtout connue pour sa capacité à synthétiser les concentrations de calcium et de phosphore dans le sang grâce aux rayons UVB du soleil. Elle joue un rôle essentiel dans la minéralisation des os. Mais elle a aussi une action sur les reins et sur le système immunitaire en tant qu’immunomudolateur. Dans cette perspective, de nombreuses études ont été réalisées face à son action potentielle sur le covid (91 étudesau 25/07/21 dont 30 concernant d’éventuels traitements). Se supplémenter en vitamine D si on en manque permettrait de minimiser la gravité de l’infection. On sait que de nombreuses personnes âgées souffrent d’un manque récurrent de VitD. En Angleterre, dès l’automne 2020, le gouvernement a demandé à sa population âgée d’en prendre en prophylaxie.
A côté de ça, on voit des zozos comme notre Nathan national, diffusé non-stop sur toutes les chaines de TV, radio, presse, avouer sur twitter ignorer ces bienfaits. Et dire que la SPLIF a contribué à financer les études à Londres du toutou de Yazdan (Bichat)… Faire un BAC+7 dans ce domaine et ignorer la base…
Le Zinc :
Le zinc est un oligoélément essentiel ayant des propriétés antivirales, anti-inflammatoires, antioxydantes et de renforcement de l’immunité. Il intervient dans la réplication cellulaire, de protection de l’ADN et de régulation hormonale.
Il peut permettre de raccourcir la durée des symptômes.
Huile de foie de Morue :
La Norvège a découvert que les consommateurs réguliers d’huile de foie de morue étaient moins atteints par le virus.
Quercétine :
Molécule flavonoïde trouvée dans de nombreux fruits/ légumes ayant un fort pouvoir antioxydant, ainsi qu’une action antihistaminique et anti-inflammatoire. Elle booste le système immunitaire et inhibe la réplication des rhinovirus. Elle réduit la perméabilité des vaisseaux sanguins.
D’après une étude de chercheurs indiens, elle aurait une action sur le SARS-COV-2 en empêchant le virus d’entrer dans les cellules humaines pour s’y répliquer. De bons résultats ont été trouvés aussi sur des recherches effectuées en Iran et en Arabie Saoudite.
Associée au zinc, elle pourrait être un bon moyen de prévention, mais aussi une thérapie après infection.
Les sprays nasaux :
Un autre moyen de se protéger des virus est de s’attaquer par son point d’entrée dans le corps, à savoir le nez. Un bon moyen de limiter son impact est de prévenir son installation dans le corps. Plusieurs entreprises ont travaillé sur un spray nasal préventif et vous allez voir que le petit producteur français a été roulé dans la boue… En France on n’aime pas les initiatives ou bien son produit dérangeait de plus grosses boites travaillant sur ce secteur concurrentiel…
COV-DEFENSE/ BIOKAMI (France/ Drôme) :
Alors là, nous voici face à un autre scandale chauvin. Une petite entreprise située dans la Drôme a présenté un spray nasal virucide à base d’eau de mer ionisée à inhaler en prévention. Le fabricant revendiquait assurer l’inactivation du virus Sars-CoV-2 à plus de 99 % au niveau des fosses nasales par action mécanique. Impossible de trouver l’information sur la délivrance d’une AMM, mais la presse avait annoncé en grande pompe sa commercialisation mi-février et je ne pense pas qu’un entrepreneur se soit lancé dans la production puis la distribution en pharmacie d’un produit sans avoir obtenu une autorisation préalable.
Le 22/02/2021, PAF, l’ANSM a stoppé sa commercialisation par une décision de police sanitaire à son encontre, quelques jours avant sa commercialisation prévue au 01 mars 2021, pour défaut de données sur la sécurité et l’efficacité du spray.
Par ailleurs, toutes les techniques prophylactiques ont été interdites par le gouvernement, les autotests aussi, jusqu’à ce que Martin Blachier dénonce la corruption de Olivier Véran en direct sur un plateau TV, indiquant que notre ministre avait octroyé des subventions d’équipement aux grands labos en échange qu’ils détiennent un monopole sur les tests… Ça a jeté un froid, et cela a dû remonter au plus haut car quelques semaines plus tard, ce fut enfin autorisé.
SaNOTIZE (Israël/ Canada) :
Moins d’un mois après l’annonce de l’interdiction du produit préventif drômois, nous apprenons qu’un produit issu d’une biotech israélo-canadienne a obtenu l’autorisation de distribuer le sien, comme par hasard… Via CNews nous découvrions que les données d’efficacité exactes ne sont pas encore connues…
Un autre spray finnois est aussi dans les starting block. Contenant de l’HCQ et de l’IVM, il devrait avoir peu de chance de débarquer en France mais le fait que plusieurs biotechs travaillent dans ce sens prouvent bien qu’il y a un marché et que les petits n’y auront pas leur place.
Antiviraux :
Un antiviral est une molécule médicinale qui, en perturbant le cycle de réplication d’un virus, est destinée à agir contre sa multiplication afin de ralentir l’infection virale. Un antiviral NE PEUT AVOIR UNE EFFICACITÉ CLINIQUE QU’UTILISÉ EN DÉBUT DE MALADIE!!! Ainsi, tout protocole de test lancé sur des patients déjà hospitalisés en état grave est inutile car cela conclura à une inefficacité. Nous avons déjà pu le constater avec les essais cliniques officiels sur les molécules repositionnées. Elles ont toutes été classées inefficaces pour cette raison.
Depuis l’apparition du Covid, les labos se sont jetés à corps perdus sur la recherche de nouvelles molécules car en dénicher une sera le jackpot. Ils sont encore tous en essais cliniques et nous devons garder en mémoire que même une fois commercialisés, comme les nouveaux vaccins, nous ne disposerons d’aucun recul sur leurs potentiels effets secondaires délétères sur le moyen/long terme.
ABIVAX/ ABX464 (Essai clinique MIR-AGE)
Traitement qui avait reçu le label « priorité nationale » mais qui a échoué lors de l’essai clinique phase 2/3 Mir-age. Fin de partie le 05/03/2021.
AT-527/ RO7496998 (Atea Pharmaceuticals/ Roche)
Administré par voie orale, l’AT-527 agit en inhibant la réplication virale en interférant avec l’ARN polymérase du virus. Il a été conçu à la base pour traiter l’hépatite C. Il est testé sur les malades sévères hospitalisés. Les essais cliniques sont encore en phase 2.
MK-711 (MERCK)
Très peu d’informations transparaissent sur cette thérapie orale. On sait juste, via une dépêche de presse, que selon les premiers résultats des essais cliniques, une réduction de plus de 50% du risque de décès ou d’insuffisance respiratoire chez les patients hospitalisés avec des formes modérées à sévères a pu être observée.
Développé en 2019 à l’université de Emory. Pilule orale prévue pour stopper complétement la transmission du virus en 24h d’après une étude réalisée sur des furets. Il a ensuite été testé sur des patients hospitalisés et, sans surprise, les résultats n’étaient pas probants. Les essais cliniques ne sont pas finalisés que déjà l’état américain s’est engagé à en acheter 1.7M de doses pour 1.2 Md de dollars, sous condition d’obtenir une autorisation de la FDA. Il est considéré comme étant mutagène, ce que je trouve gênant pour une molécule sensée aider à éradiquer un virus. Vous verrez beaucoup d’articles dans la presse lorsqu’il sera validé (je n’en doute pas) car il a de bons VRP tels que Karine Lacombe, Yazdan, ou son toutou Nathan Smada Peiffer…De plus, il est actuellement testé, contrairement aux autres, sur des patients en ambulatoire, donc atteints de formes non sévères, ce qui aide grandement à obtenir de très bons résultats.
PLITIDEPSINE : Pharmamar (Espagne)
La Plitidepsine est issue d’un organisme marin méditerranéen. Elle est commercialisée sous le nom APLIDIN depuis 2008 pour traiter les cancers du sang. Elle bloque l’activité d’une protéine humaine (eEF1A) dont le virus se sert pour se multiplier. Ce médicament anticancéreux réduit ainsi considérablement la capacité du virus à se propager et serait, selon une étude, presque 30 fois plus puissante que le Remdesivir.
Le 28/04/2021, l’agence espagnole des médicaments a autorisé l’essai clinique APLICOV-PC pour tester la molécule sur des patients covid nécessitant une hospitalisation.
Le 25/05/21, la phase III de l’essai NEPTUNE s’avère concluant, surtout sur les patients modérés ayant reçu une dose à 2.5mg sur 3 jours consécutifs et qui ont été guéris en une semaine. Après ces résultats prometteurs, la firme a besoin d’avoir une cohorte de patients plus importante pour valider ses résultats. A ce jour, seuls l’Espagne et le Royaume-Uni ayant autorisé l’essai Neptune, Pharmamar a demandé à 6 autres pays de l’UE de rejoindre l’essai, via un protocole d’application harmonisé appelé VHP, afin de pouvoir commercialiser le médicament dès 2022.
Nouvelles molécules :
PROXALUTAMIDE
Anti-androgène non-stéroïdal (NCT04728802). C’est un médicament utilisé dans le traitement des cancers de la prostate et des pancréatites (Camostat).
Avec l’avancée de la recherche sur le virus, on sait maintenant que la particularité du SARS-COV-2 est que sa protéine spike cherche à se lier à nos récepteurs plaquettaires pour se diffuser dans notre corps. Les anti-androgènes ont la capacité de réguler cette liaison et protègent les récepteurs ACE2 et TMPRSS2.
Les premiers résultats d’essais cliniques sont prometteurs.
DiABZI
Tofacitinib / Xeljanz (Pfizer)
Médicament commercialisé par Pfizer contre l’arthrite. En essai clinique sur des patients graves hospitalisés, il a montré une légère amélioration dont les résultats ont été publié le 16/06/2021 dans le NEJM. Cependant, l’ANSM ayant lancé une alerte le 13/07 sur des effets secondaires très graves (cardiovasculaire + tumeurs), je ne pense pas qu’il obtienne un agrément.
PF-07321332 (Pfizer)
C’est un inhibiteur de protéase, initialement développé pour le SRAS par voie intraveineuse, puis oublié. Les chercheurs l’ont transformé pour en faire une pilule orale, plus facile à distribuer en ambulatoire, à prendre dès les premiers symptômes évitant que le virus ne se développe dans le nez, la gorge et les poumons. Il sera administré en association avec de faibles doses de RITONAVIR (antiviral utilisé pour VIH). Les premiers essais sur l’homme ont démarré en mars/avril 2021.
NANGIBOTIDE (INOTREM)
Ce médicament immunologique, testé initialement contre les chocs septiques, est un inhibiteur de la voie TREM-1 impliquée dans les processus d’inflammation. Son ingrédient principal est le LR12, un peptide synthétique. Financé par BPI France, il a obtenu un label priorité national de recherche et un financement de 45M€. Il est destiné aux patients présentant une forme sévère.
Il est en essai clinique phase 2/3 (ESSENTIEL) conduit par les CHU de Limoge et Nancy.
Anticorps Monoclonaux :
« Les anticorps dits « monoclonaux » sont des anticorps fabriqués spécifiquement pour traiter une maladie. Ils sont produits par des cellules (il peut s’agir d’une bactérie, d’une levure ou d’une cellule de mammifère) qui ont été sélectionnées et cultivées pour leur capacité à produire un anticorps particulier. Celui-ci a d’abord été obtenu en exposant des cellules immunitaires rigoureusement identiques (un clone cellulaire) à une protéine dite « protéine cible » contre laquelle ce clone a fabriqué un anticorps, comme dans une réaction immunitaire. » Définition du Vidal
Sachez qu’il y a énormément d’anticorps mono ou (polyclonaux = association de plusieurs) testés actuellement dans la lutte contre le Covid19. C’est un marché très lucratif issu du génie génétique (technique CRISPR-cas9/OGM). On les appelle « monoclonaux », car produits par des cellules immunitaires qui ont été clonées. Ils sont généralement dispensés en hospitalisation par voie intraveineuse.
Pour l’instant, peu de thérapies ont obtenu un agrément en France, et non sans conflits d’intérêts. Il faut être conscient du fait que, même approuvé temporairement, ils sont encore tous en phase de test sur l’humain. Je vais vous citer ceux pas validés dans une liste brève, sait-on jamais s’ils venaient à être autorisés par la suite :
Phyloceuticals (Angany), anticorps monoclonal à base de plantes à utiliser en prévention et soin
Canakinumab (Ilaris), monoclonal dirigé vers l’interleukine-1
Baricitinib : pas d’autorisation du CDC USA
Anakinra (KINERET®) agit en bloquant le récepteur de l’interleukine 1 (IL1). Arrêt des essais français (Corimuno-ana1/anaconda-covid19) pour surmortalité et absence d’effets
Glenzocimab (Acticor Biotech/ INSERM) testé à Bichat
Gimsilumab
Regdanvimab / CT-P59 Avis favorable du CHMP de l’EMA le 29/03/21
Dopilumab/ Sarilumab (Sanofi/ Regeneron) : Association d’anticorps anti IL6. Présenté comme traitement miraculeux par Martin HIRSCH (dir AP-HP), les études ne furent pas concluantes
Sarilumab ou Kevzara (Sanofi/Regeneron) : effet anti-inflammatoire bloquant l’action des récepteurs de l’interleukine-6 (arrêts des essais dès septembre 2020 car effets secondaires sévères dont des défaillances d’organes) mais l’OMS vient de le valider dans un communiqué de presse alors que les essais cliniques ne sont pas concluants… Soi-disant pour qu’il soit destiné aux pays pauvres mais le tarif est dissuasif pour cet usage là… C’est très déconcertant!
AZD7442 (AstraZeneca) : combinaison de deux anticorps AZD8895 et AZD1061 qui ciblent la protéine spike. Ils visent à empêcher la fixation du virus SARS-Cov-2 , AZ annonce que l’objectif primaire n’a pas été atteint dans son étude phase 3, avec une réduction de 33% des infections, non statistiquement significative. Une autre étude clinique est en cours pour déterminer si la combinaison de l’AZD7442 avec le REGN-COV2 ou le bamlanivimab est potentiellement efficace contre les variant Beta et Gamma.
Sotrovimab / VIR-7831 (GSK & Vir Biotechnology)
Anticorps monoclonal en dose unique, pour le traitement précoce des adultes et des ados (+12 ans) atteints de COVID-19 léger à modéré et présentant un risque élevé d’évolution vers une forme sévère. Je n’ai trouvé qu’une seule étude clinique sur moins de 300 personnes, financée par les fabricants. Il a eu l’accord de la FDA le 26/05/2021 et a déposé une demande à l’EMA en mai 21. Il a reçu un avis positif du CHMP de l’EMA le 26/05/21. S’il obtient une AMMc de l’ANSM, il la devra certainement à DELFRAISSY, plus qu’à ses résultats cliniques, car il a été membre du conseil scientifique de la Fondation GSK plusieurs années. Actuellement testé en essai clinique en association avec le bamlanivimab de Lilly.
Tocilizumab/ RoActemra/ Actemra/ (Roche)
Anticorps monoclonal humanisé qui bloque l’action des récepteurs de l’interleukine 6. Il est utilisé pour son action immunosuppressive dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde.
Commercialisée dès 2010 aux USA, cette thérapie génique fut décriée pour avoir tuée des centaines de patients en 2017. Reconnue aussi pour ses effets secondaires très graves (cardiaques & pulmonaires, pancréatites) et après son échec dans plusieurs essais cliniques, coup de théâtre, l’OMS vient d’officialiser son autorisation dans le traitement du covid avec une efficacité avoisinant les 13%!!!
BAMLANIVIMAB (LY-COV555/ LY3819253) + ETESIVIMAB (LY-COV016/LY3832479) – Eli Lilly
Le Bamlanivimab fut le premier anticorps monoclonal à obtenir une EUA (=AMMc) de la FDA (USA) 09/11/2020.
L’Académie de Médecine, qui hurle des cris d’orfraie à toutes propositions de molécules repositionnées depuis le début de la crise, par principe de précaution, relatant qu’avec 60 essais cliniques dont 30 études randomisées il n’y a pas assez de preuves scientifiques que l’ivermectine fonctionne, ont dû être touchés par la grâce divine. Le 08/02/2021, alors qu’aucune étude n’a encore été publiée pour démontrer son efficacité potentielle, elle trouve que ce traitement est « une opportunité à saisir« ! Oui financièrement, à 1000€ les 700mg c’est probable que cela soit rentable.
Il eut, avec une facilité déconcertante, une ATU de l’ANSM dès le 25/02/2021 alors que son étude clinique n’était encore qu’en phase 2b et que le début de la phase 3 montrait des signes flagrants d’inefficacité… Inutile de préciser que Yazdan (encore lui) a fortement plaidé la cause de ce traitement « révolutionnaire », comme pour le Remdésivir.
Il faut dire que lorsque l’on est distribué par un labo qui a ses entrées à l’Élysée, ça a tendance à simplifier les choses… L’ancien Mr Vaccin, Louis-Charles Viossat, est un ancien du labo Lilly. Au comité de direction de la firme se trouve Béatrice Cazeneuve, dont le mari Jean-René est député LREM , la fille Marguerite Cazeneuve siège au pôle santé de Matignon, son mari Aurélien Rousseau est directeur de l’ARS IDF et enfin le frère Pierre occupe un poste au cabinet de l’Élysée…
Dès début mars, la SPILF, dirigée par Tattevin, un homme intègre pas du tout arrosé par Big Pharma, enjoint à recruter des patients pour tester le protocole.
Non seulement ce monoclonal, administré seul, n’est pas très performant pour éviter les formes graves mais il est très mutagène. Les patients doivent être hospitalisés durant 10 jours pour s’assurer qu’ils ne produiront pas de variant!!! Oui, vous avez bien saisi.
Le 19/03/2021, la FDA suspend son utilisation en Californie, Arizona, Nevada car il se montre inefficace sur les variants prédominants. Très rapidement, la FDA révoque son autorisation temporaire lorsqu’il est utilisé seul (18/04/2021).
Dans la même temporalité, en France, nous élargissions son utilisation à de nouvelles catégories de patients… en association avec un autre monoclonal, le ETESEVIMAB issu du même labo.
Le 28/06/2021, le HHS (Department of Health and Human Services) suspend l’utilisation de ces 2 monoclonaux pour inefficacité sur les variants gamma (brésilien) et bêta (S-A) prédominants donc, aux vues des effets secondaires conséquents pour les traitements reçus en intraveineuse, ils jugent la balance bénéfice/risques négative. (info Reuters)
Pour en savoir plus sur ce nouveau scandale sanitaire qui aura coûté la bagatelle de 170 millions d’euros, voir la fabuleuse enquête (ici) de France Info.
Il s’agit du fameux traitement donné à Trump à 2000€ la dose. Il a eu son EUA de la FDA le 21/11/2020 et son AMMc de l’ANSM le 17/03/2021.
Anticorps polyclonaux dirigés contre la protéine Spike afin de l’empêcher de se fixer dans les cellules humaines.
La synthèse des essais cliniques semblent montrer des signes d’efficacité, à voir si, avec l’arrivée de nouveaux variants, ce sera toujours effectif.
XAV19 – Xenothera (CHU Nantes)
Une biothèque française a sélectionné un anticorps polyclonal à base de sérum de porc OGM qui vise à stopper l’aggravation de la maladie sur des patients modérés et éviter qu’ils aillent en réa.
Je ne sais trop quoi en penser. Le bon point c’est qu’il ne vise pas que spike ce qui tendrait à penser que cela pourrait être efficace sur les variants. D’un autre côté, il est dédié à éviter les aggravations pulmonaires or on sait que la maladie étant endothéliale, l’attaque pulmonaire est sous-jacente mais n’est pas la cause entrainant l’hypoxie…
La biothèque a été dispensée de tests sur les animaux. Les premiers résultats des essais cliniques (Polycor/400 personnes et Euroxav/722 pers) arriveront à la fin de l’été. La production devrait commencer à Alès prochainement avec possibilité de distribution fin 2021 si obtention d’une AMMc de l’EMA et ATU de l’ANSM… L’état a déjà précommandé 30k doses.
Conclusion
Je sais que cet article est très long, indigeste, parfois compliqué à appréhender sans notions médicales mais je l’ai aussi rédigé pour aider vos médecins/ soignants qui sont sous-informés en compilant un maximum de lectures que j’ai faites ou d’informations retransmises par mon réseau de journalistes spécialisés ou de spécialistes/ chercheurs.
En France, on vous serine depuis le premier jour qu’il n’existe pas de traitements. C’est FAUX. Je conclurai ici avec les tableaux de synthèse des essais cliniques pour toutes les molécules recensées (mise à jour régulièrement ICI) et les protocoles de soin prescrits à l’étranger ou par des médecins français s’étant désolidarisés du système. Ne pas accepter la fatalité, si vous êtes malades vous avez le droit de recevoir des soins, cependant, comme vous pourrez le voir dans les tableaux joints, ils ne sont efficaces que pris dès les premiers symptômes. N’attendez pas que cela empire, ne prenez pas ce risque! Ne vous automédiquez pas, il peut y avoir des interférences médicamenteuses dangereuses! Cette maladie a un taux de létalité ridiculement bas, même l’OMS le dit (delta 0.1% selon les dernières données anglaises), c’est devenu un simple rhume mais qui peut s’aggraver et dégénérer selon votre génotype, nous ne savons pas encore pourquoi certains sont plus gravement atteints que d’autres…
En Amérique, protocole de soin COVID LONG du (FLCCC)